A quoi jouez-vous en ce moment ?

M.Knight, je te le dis, ils ne sont pas moins bien, en aucun cas ! Ils sont tout aussi bons que le Bleue, voir meilleurs. J'ai été voir sur Internet, Explorateurs du Ciel est le préféré de tous les internautes. Et sur tous les spin-offs Pokémon, DM est le plus apprécié, sauf celui sur 3DS, ce qui est compréhensible.
Si tu passes à côté de ces bijoux (Qui a dit de famille ?), ce serait vraiment dommage...

Le souci est qu'ils ont rendu les nouvelles versions trop simple, mais les anciennes versions étaient trop dures, il n'y a pas de juste milieu. Quand je vois qu'ils t'offrent des Potions/Balls/Total Soin à gogo + le Multi Exp qui xp tous tes pokés rapidement dans Y, je me dis qu'il y a un truc qui cloche.

Ah, je vois. Si j'ai le temps, j'essaierais un autre de ces Donjon Mystère DS alors.

Franchement, j'pense pas que les premières versions poké étaient dures. Elles sont p'têt plus difficiles que les versions d'après parce que les movesets/poké/objets sont limités mais dans l'absolu, ça reste franchement simple. A part p'têt la ligue qui demande d'avoir une équipe un peu préparée, le reste c'est du gâteau. Les champions se spécialisent que dans un seul type, les potions sont pas chères, l'IA est pas la plus intelligente de tous le temps, etc. C'est pour relever le niveau que des challenges user-made comme le Nuzlocke existent d'ailleurs.
En tout cas, pour un RPG, c'est vraiment abordable.

De mon côté, bien que j'passe le plus clair de mon temps de jeu sur Project Mirai DX, c'est pas le seul jeu auquel je joue.

Screenshots:

Karous : The Beast of Re-Eden est un shoot'em up vertical en vue isométrique sur 3DS. Il s'inscrit dans la lignée des shoots MileStone et notamment le Karous originel (dispo' sur arcade, Dreamcast et Wii), mais contrairement à ceux-ci, ce jeu là est fait dans l'optique du jeu sur console portable. Par conséquent, on a affaire à un jeu avec une centaine de missions à effectuer au lieu des 5-7 stages classiques à faire d'une traite. Autre aspect typiquement console, notre vaisseau possède diverses armes qu'il peut level-up en les utilisant, à la manière d'un RPG. Ce système de level-up existait déjà dans Karous où les armes devenaient plus puissantes au cours de la partie mais Beast of Re-Eden conserve ces améliorations d'une mission à l'autre.

Au niveau des armes, justement, l'arsenal s'est pas mal agrandi depuis. Les shoot'em up Milestone ont généralement quatre types d'armes : un tir classique, une arme de contact/corps-à-corps, un bouclier qui se déclenche lorsqu'on ne tire pas, et une bombe rechargeable qui rend momentanément invincible. Karous : The Beast of Re-Eden a ces quatre types d'armes ainsi que diverses variations et évolutions pour chacune d'entre elles. Plus on joue et plus on débloque de nouvelles armes, plus puissantes et plus efficaces.

Screenshots:

Même s'il n'est pas aussi bien que les shoots arcade de Milestone, ce Karous 3DS est pas mal, et on a envie de continuer à débloquer des missions, des armes, etc. Les musiques sont chouettes (de la drum'n bass) et les armes sont fun à utiliser. Par contre, au niveau performances techniques, c'est pas gagné : pas de 3D, et comme le moteur de jeu n'est pas le mieux codé du monde, des ralentissements surviennent dès que quelques ennemis font leur apparition. On joue donc souvent à une vitesse de jeu réduite, et même si les patterns ennemis sont codés en conséquence (les boulettes sont très rapides, et leur vitesse devient gérable avec les ralentissements), c'est un potentiel deal-braker. Perso', je m'y suis fait, m'enfin ça sera pas le cas de tout le monde.

Karous était initialement dévoilé aux alentours de 2011, vers la sortie de la 3DS, mais Milestone a fait faillite entre temps ('fin pour être plus précis, son PDG s'est fait arrêter pour des magouilles financières..XD) donc le jeu a disparu jusqu'à ce qu'il refasse surface l'année dernière. Des anciens développeurs de Milestone ont formé un groupe du nom de Sakura Flamingo Laboratory et ont fini le jeu. Il est sorti en boîte au Japon et est dispo' depuis quelques mois sur les eShop occidentaux pour un prix bien plus faible (genre 6€).

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Vous vous souvenez des quelques 3D Classics de Nintendo aux débuts de la 3DS, avec Excitebike ou Kid Icarus? Bizarrement, bien que le potentiel de ces remasterisations était élevé, Nintendo a plus ou moins arrêté d'en faire. Mais SEGA, de son côté, a décidé de se lancer dedans et propose une fournée de jeux arcade et Mégadrive avec de la 3D, et contrairement à Nintendo, ils ont pas l'air de vouloir s'arrêter. Et tant mieux d'ailleurs, parce que leurs 3D Classics sont vraiment pas mal du tout, et notamment ce 3D Outrun. Là où Nintendo va piocher des jeux douteux genre Urban champion, SEGA a bien compris l'intérêt de remettre des "classiques" sur le devant de la scène.

3D Outrun est un portage 3D du fameux jeu d'arcade qui nous mettait aux commandes d'une Ferrai Testarossa dans une balade aux airs de vacances dans des décors assez frais et variés. Bien que la Ferrari a du être un peu modifiée visuellement sur ce portage là, question de droits, le portage propose une expérience de jeu très fun. Dans Outrun, vous avez un système d'embranchements où à chaque checkpoint, vous choisissez de tourner à droite ou à gauche, ce qui vous emmène dans sur une route différente, avec au final, 5 arrivées possibles. C'est ce système, en plus de la borne dédiée, des musiques rafraîchissantes et relaxantes ( Magical Sound Shower, Splash Wave et Passing Breeze) et des visuels pseudo-3D qui ont rendu le jeu populaire à l'époque de sa sortie, en 1986.



En plus de proposer une 3D impeccable et des options et paramétrages assez complets, ce portage ajoute deux musiques supplémentaires qui sont tous aussi sympa que les pistes d'origine (Cruising Line et Camino a mi Amor) ainsi que la possibilité de customiser certains paramètres de la voiture comme sa vitesse max ou sa maniabilité. Ces éléments se débloquent en atteignant chacune des 5 arrivées et rendent le jeu plus accessibles pour ceux qui ont des difficultés.

Au final, bien que j'ai une préférence pour 3D Super Hang-On qui est plus technique et plus exigeant, 3D Outrun est un jeu de course très sympa, qui malgré ses trente ans, n'a pas vieilli et reste tout à fait jouable.

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Vous souvenez-vous de The Legend of Kage, le jeu d'action de Taito dont j'avais parlé y a quelques pages de cela? Il se trouve qu'il possède une suite...sortie une vingtaine d'années plus tard sur Nintendo DS.
The Legend of Kage 2 reprend les bases du premier jeu et remet le tout au goût du jour. On incarne de nouveau Kage, le ninja aux sauts lunaires, mais une fille du nom de Chihiro est également jouable, chacun ayant ses spécificités en termes d'attaques. Contrairement au jeu d'arcade originel, on a ici un découpage en niveaux séparés, et l'histoire est accompagnée de petites cutscenes avec des dialogues au lieu des cutscenes plus "naturelles" et mieux intégrées du premier jeu.

En contrepartie des aspects plus modernes du rythme de jeu, la panoplie de mouvements a énormément évolué, tout en gardant la verticalité qui faisait l'originalité du jeu de 1985. En effet, Kage et Chihiro ont tous deux des sauts énormes couvrant un écran ou plus de hauteur, et les niveaux sont adaptés en fonction, offrant pas mal de verticalité dans leur design. C'est là que l'on se dit que la DS collait bien à ce jeu en fait.

De plus, nos deux ninjas peuvent marcher sur les murs, effectuer des glissades, courir, air-dasher, et utiliser des ninjutsus que l'on confectionne à partir d'orbes trouvés dans les niveaux. Tout cet arsenal rend le jeu très dynamique, et on a vraiment l'impression de contrôler un ninja dans toute sa splendeur, avec son agilité et sa rapidité.



Chaque niveau se conclut avec un boss, et c'est sûrement là où le jeu est le plus intéressant. Bien que les niveaux en eux mêmes soient funs, les boss utilisent pour certains très bien le double écran de la DS et les affrontements sont bien ficelés. Par ailleurs, les développeurs l'ont bien compris et un mode Boss Rush vous faisant affronter tous les boss à la suite est déblocable.

Il y a quelques références au premier Legend of Kage dans ce jeu, et la plus évidente est le remix du thème principal, vraiment bien fichu. Bien qu'il ne soit pas nécessaire d'avoir joué au premier jeu, ça reste pratique afin de remarquer les références et constater l'évolution qui s'est effectuée entre les deux jeux. Dans tous les cas, Kage 2 est un très bon jeu d'action, qui est trouvable à pas cher qui plus est.

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Ceux qui ont lu les interviews liées au SEGA 3D Classics sur leur blog auront sûrement remarqué les quarante douze mille fois où le producteur de chez M2, grand fan de Thunder Blade, a mentionné ce jeu et son souhait de l'inclure dans la liste des portages SEGA 3D. Et bien, finalement, la running gag est devenue une réalité, et 3D Thunder Blade est bien dispo' sur l'eShop. Tout comme des Outrun, Afterburner, Hang-On/Super Hang-On ou Galaxy Force, Thunder Blade est un jeu d'arcade SEGA des années 80 qui utilise des bornes dédiées pour en mettre plein la vue et valoriser la pseudo-3D de ses graphismes.

Dans Thunder Blade, c'est un hélicoptère que l'on dirige, dans des niveaux décomposés en deux types de phases : certaines sont en vue du dessus et notamment les boss, et d'autres ont un angle de caméra situé derrière notre engin. L'hélicoptère est équipé d'un tir frontal classique ainsi que de missiles qui permettent de bombarder les cibles au sol.



Contrairement aux autres jeux arcade mentionnés ci-dessus, Thunder Blade a un rythme un peu plus lent et une nervosité moins poussée. Il est possible de ralentir l'hélico' pour mieux esquiver les décors et les boulettes ennemies, et le scrolling n'est pas ultra rapide. Notre armement est assez sobre et moins flashy que les volées de missiles d'un Afterburner par exemple. Ce côté moins "dans ta face" de ce jeu est une des raisons pour lesquelles il n'est pas aussi populaire que des Outrun ou des Afterburner, mais Thunder Blade reste sympa' à jouer. Son attrait est moins immédiat mais le jeu reste jouable même des décennies après sa sortie initiale.

Le portage 3D est la meilleure version du jeu, avec l'ajout d'un nouveau stage, ainsi que d'une sorte de mode Arrange avec un vaisseau plus puissant et un layout des stages légèrement différent. Cela rend le jeu notamment plus bourrin, tout comme le mode Spécial du portage d'AfterBurner, mais sans avoir des changements aussi drastiques.

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Durant une des interviews que le producteur de Senran Kagura a pu donner à propos de ce jeu, ce dernier a indiqué que l'une des raisons qui l'a poussé à créer ce jeu pour la 3DS était de profiter du support pour visualiser les poitrines des filles du jeu en 3D. Ça en dit pas mal sur l'approche derrière ce jeu, et pourtant, même si on peut penser que c'est un jeu se focalisant principalement sur le fan service au détriment de tout le reste, Senran Kagura est un beat'em all plutôt sympa' à jouer doublé d'un visual-novel aux thèmes plutôt inattendus.

Mettant en scène les élèves de deux écoles de ninjas opposées, Senran Kagura Burst est en fait une version updatée du premier jeu de la série, resté au Japon. On a droit à deux "campagnes", chacune donnant la possibilité d'incarner les filles des deux factions. Chaque campagne est découpée en chapitres, avec une multitude de missions, dont les objectifs sont des variations de "Vaincre tout le monde". Ces missions se jouent comme les beat'em all des années 80/90, c'est à dire en vue sur le côté, sauf que les mouvements et manœuvres sont moins rigides notamment en raison des dashs et des combos aériens. Chaque personnage peut en effet projeter ses adversaires dans les airs et les comboter avant qu'ils atterrissent au sol. D'autres subtilités existent comme les attaques spéciales au sol ou dans les airs.



Entre les missions se trouvent des passages typés Visual Novel qui racontent l'histoire du jeu, dont les thèmes assez sombres contrastent pas mal avec le "fan-service" dont le jeu est blindé. Le jeu raconte en effet comment les ninjas ne sont perçus que comme des outils par les politiciens/PDGs/etc. qui font appel à leurs services. Un autre thème concerne les notions de bien et de mal qui sont absurdes, le jeu montrant que l'école prétendant avoir une très bonne réputation est par conséquent élitiste tandis que l'école du "mal" se montre en fait plus pragmatique. Les personnages ont un background plutôt développé aussi et leurs histoires sont loin d'être super joyeuses.

On a donc un jeu qui mélange deux aspects qui ont l'air opposés, ce qui est assez inhabituel. Les combats en eux mêmes sont assez bourrins et funs mais pas très très difficiles à moins de se mettre en mode "Frantic" qui décuple notre attaque au détriment de notre défense. Le contenu du jeu est assez satisfaisant, même si ça peut s'avérer un peu répétitif. C'est pas surprenant en tout cas de voir comment Senran Kagura est devenu une série avec pas mal de jeux, mais c'est pas que pour ses personnages en fait. D'ailleurs, Senran Kagura 2 est sorti en Europe y a pas longtemps, toujours sur 3DS. Si quelqu'un y a joué, j's'rais pas contre un avis.

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Zanac Neo est le dernier shoot'em up de la société Compile, sorti en 2001 sur PS1 dans une compile nommée Zanac X Zanac. Compile est surtout connu pour la série des Puyo Puyo mais elle a également développé pas mal de shoot'em ups sur console, comme Super Aleste, Zanac ou MUSHA. Contrairement aux shoots arcade, une partie dans un shoot Compile dure assez longtemps, les niveaux étant assez longs, et Zanac Neo n'est pas une exception. Le nombre d'armes différentes est assez dingue, et les Zanac ont la particularité d'adapter les vagues ennemies en fonction des armes que l'on utilise, ce qui donne à chaque partie le potentiel d'être différente de la précédente selon votre style de jeu.

Bien que sorti après le début des shoots modernes avec plein de boulettes à la DoDonPachi ou Touhou et un scoring complexe, Zanac Neo garde les caractéristiques de ces prédécesseurs et reste old-school, en favorisant la destruction plus que l'esquive. Néanmoins, il a quand même un pied dans le 21ème siècle avec un système de score qui requiert de ne pas laisser échapper d'ennemis de l'écran. Simple, mais efficace, et ça rend le jeu encore plus nerveux.



Perso', je suis pas très fan des shoots Compile en raison de leur longueur et leur rythme, mais Zanac Neo est assez prenant, le système d'armement est fun, les stages sont nombreux et bien qu'une partie dure environ une heure, on voit pas vraiment le temps passer car les décors s'enchaînent assez rapidement. Les musiques, signées k.h.d.n., sont bien sympathiques et on peut voir que les compositeurs ont eu carte blanche pour faire un son qui est dans leur style (techno/electro) plutôt que des sons typés JV.
Playslist Zanac Neo

Après la faillite de Compile en 2003, certains membres du staff ont fondé MileStone et leurs shoots sont une sorte d'évolution des shoots de Compile, adaptés à l'arcade. En jouant à Zanac Neo, on retrouve certains aspects qu'on verra plus tard dans les MileStone, et c'est aussi une raison pour laquelle c'est un jeu fun.

J'sais pas si tu m'lis, Darkfire, mais vu que t'aimes bien Super Aleste, tu devrais essayer ce jeu là, il devrait te plaire j'pense.

Aux alentours de sa sortie début 2011, je me souviens avoir essayé la démo' disponible sur la chaîne Nintendo de Ghost Trick et j'avais bien aimé, mais ça n'est que maintenant, 4 ans plus tard, que je découvre vraiment le jeu. Et j'sais pas pourquoi j'ai attendu aussi longtemps. %)
Écrit et scénarisé par Shu Takumi, qui a aussi planché sur les premiers Ace Attorney, Ghost Trick démarre avec, tout simplement, la mort du personnage principal. Tout n'est pas perdu puisqu'au passage, il devient un fantôme et gagne la faculté de posséder des objets. Ayant perdu la mémoire, il n'a qu'une idée en tête : retrouver son identité et comprendre les circonstances de sa mort.

Ghost Trick se décompose en chapitres, chacun amenant son lot de rebondissements et de nouveautés à un scénario très rythmé et généralement dénué de temps morts. Au cours de ceux-ci, on devra utiliser nos pouvoirs de possession (nos "Ghost Tricks") afin d'en apprendre plus sur nous, mais également pour sauver certains personnages d'une mort certaine. En effet, un autre des pouvoirs du jeu est de remonter 4 minutes dans le passé avant la mort de quelqu'un afin de prévenir son décès. Étant un fantôme, ces sauvetages se feront en utilisant de façon judicieuse les propriétés des objets que l'on possède. Ces phases puzzle sont assez sympa, bien que l'on peut regretter leur absence de solutions multiples.



Un autre aspect du jeu qui saute aux yeux est ses graphismes et son animation. Tous ceux qui ont déjà parlé du jeu ont du l'dire : c'est un jeu superbe visuellement parlant, et les personnages, tous hauts en couleur, sont animés de façon très vivante et fluide. A voir, c'est un vrai régal pour les yeux! Le rendu m'évoque d'ailleurs certains jeux plus anciens comme Another World ou Flashback, qui représentent les personnages avec un effet assez proche.

Si vous avez apprécié les Ace Attorney, et/ou que vous aimez bien les jeux DS dans ce style, qui mélangent de la narration à du gameplay, Ghost Trick devrait franchement plaire! Si vous êtes pas convaincu, vous pouvez toujours essayer une démo Flash sur le site officiel de Nintendo :

https://www.nintendo.fr/Jeux/Nintendo-DS/Ghost-Trick-Detective-Fantome-270880.html

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Opérer des gens, ça peut être grave fun. Si si. Bon, en tout cas, c'est le cas dans Trauma Center, une de ses séries qui a connu le jour à l'époque DS/Wii et qui a montré les possibilités de jeu novatrices qu'offraient le tactile et le pointeur Wiimote sans être "casu" ou dénué de challenge. C'est typiquement le genre de jeux "frais" et sympa qui n'aurait pas pu exister dans un environnent avec que des consoles focalisées sur la puissance brute et la performance technique.

Trauma Center : Second Opinion est en fait un remake Wii de Trauma Center : Under the Knife, sorti initialement sur DS. On y incarne un chirurgien du nom de Derek Stiles qui doit, vous l'aurez deviné, opérer divers patients en utilisant les facultés de l'écran tactile ou bien de la Wiimote. Le jeu a deux phases distinctes. Le première est une partie typée visual novel avec les briefings pré-opératoires et des dialogues faisant avancer l'histoire du jeu. Ces passages durent généralement pas très longtemps comparé à des visual novels purs, mais ils restent assez sympathiques, notamment sur la version Wii où les musiques ont été remixées et les artworks redessinés.



La seconde phase est bien entendu l'opération en elle même. Ça peut sembler assez bizarre comme concept de jeu à la base, mais Trauma Center arrive à rendre ça très intéressant et nerveux, avec une bonne variété de tâches à effectuer et un bon niveau de challenge. Sur Second Opinion (la version Wii, donc), les différents instruments (scalpel, seringue, pince, etc.) sont accessibles via le stick directionnel sur le Nunchuck, et le pointeur sert à viser la zone à traiter. La possibilité de changer d'outils de façon instantanée permet d'enchaîner les manœuvres assez rapidement, et de la rapidité, il va en falloir. Afin de s'assurer de mener à bien l’opération sans que les signes vitaux du patient ne chutent, il faudra jongler entre chaque outil pour éradiquer tumeurs et autres corps étrangers. Les situations qu'on affronte sont assez variées donc pas de soucis à se faire à ce niveau là. En plus de cela, vous êtes noté avec un score et un grade, ce qui peut pousser à refaire les opérations en minimisant nos erreurs.

Le nombre de missions est assez élevé et la version Wii en propose quelques unes en plus par rapport à Under The Knife, sans compter deux difficultés supplémentaires (Easy et Hard), ce qui la rend assez complète, même si je présume qu'y jouer sur DS est une expérience assez différente des contrôles pointeur.

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A l'époque de sortie sur Saturn en 1997, Soul Hackers n'a hélas pas été traduit et localisé en Occident. Heureusement, ce n'est pas le cas du plus récent portage 3DS qui lui est disponible chez nous (et sans emmerdes spécifiques réservées à l'Europe pour une fois, inhabituel de la part d'Atlus mais on va pas s'plaindre).

Épisode assez unique en son genre dans la série des Shin Megami Tensei, Soul Hackers se démarque principalement par son ambiance cyberpunk très années 90. Le cadre du jeu est Amami City, une ville fictive à la pointe de la technologie venant d'installer un énorme réseau intranet, ainsi qu'un monde virtuel du nom de Paradigm X, accessible depuis les ordinateurs dont viennent d'être équipés les habitants. C'est assez intéressant de voir comment Internet était conçu et imaginé à l'époque, et l'ambiance générale du jeu reflète bien ce temps où la technologie commence à s'immiscer dans la vie des gens et est perçue comme nouvelle.



Et nous là dedans? En fait, on fait partie d'un groupe de hackers, les "Spookies", qui arrive à choper une place pour la beta de Paradigm X et découvre petit à petit les manigances qui se cachent derrière ce monde virtuel. SMT oblige, cela impliquera notamment de l'invocation de démons.  Démons que l'on pourra bien entendu recruter et fusionner afin de nous aider à traverser les donjons du jeu. Soul Hackers datant de 1997, le gameplay n'a hélas pas les avancées effectuées sur le système de combat des SMT plus modernes, et certains mécanismes impliquant les démons sont plutôt contraignants. ces derniers consomment de la magnétite pour être invoqués et nécessitent donc de tuer régulièrement des ennemis pour récupérer cette ressource et rester actifs. En plus de cela, il existe un système de loyauté similaire au système d'affection de Pokémon mais plus complexe et restrictif.

Malgré ces mécaniques un peu datées, Soul Hackers reste vraiment pas mal à jouer, son univers moderne/cyberpunk étant assez passionnant et peu commun dans les RPG/dungeon-RPG et les conversations avec les démons sont parmi les plus inspirées et amusantes de la série. Le portage 3DS offre des options qui permettent de rendre le jeu plus facile ou plus difficile, et permet également de supprimer certaines contraintes liées à l'alignement des démons, ce qui peut permettre à celui qui veut plus profiter de l'histoire de le faire, et aux amateurs de challenge de corser les choses.
Bon, par contre, un autre "ajout" du portage qui est un peu relou quand même : le jeu freeze parfois durant les animations de combat. Désactiver ces dernières dans les options règle le souci mais c'est franchement dommage.

Y'en a-t-il qui ont eu accès au stress test d'Overwatch (le FPS de Blizzard en beta) ce week-end? J'ai pu y jouer et j'ai adoré, vraiment sympa comme jeu, dynamique, intéressant, peu de diversité d'objectif mais c'est encore une beta donc j'attend de la diversité pour l'avenir. 23 perso tous uniques et jouables (pas de faux clones), avec plein de rôles : combattant, defenseur/tank, support/healer, et sniper/tourelle.

J'ai cessé de m'y intéresser quand ils ont annoncé que le jeu serait finalement payant et non un F2P comme initialement prévu.
C'est dommage il a l'air fun.

Bah ouais mais bon jouer sans payer ça va 30 secondes. Aujourd'hui beaucoup de jeu ont un prix de départ et se débrouillent très bien. Y'a des gens qui bossent dessus hein, ils s'ils ne veulent pas forcément faire de skins suite à une mauvaise expérience sur Heroes of the Storm, je sais pas comment ils peuvent rentabiliser.

Knights in the Nightmare:

Knights in the Nightmare est pas facile à classer comme jeu. Développé par Sting sur DS (puis sur PSP), ça ressemble de prime abord à un tactical-RPG, mais ça serait bien trop réducteur car le jeu incorpore des aspects de pas mal d'autres genres comme le shoot'em up, les jeux de gestion sportive, voire les échecs, le tout dans un ensemble qui peut sembler complexe vu que KitN se joue comme aucun autre jeu mais qui devient très vite cohérent et riche une fois qu'on comprend comment ça marche.
Contrairement aux tactical classiques, notre avatar n'est pas un des combattants mais l'âme d'un roi récemment décédé durant de mystérieux incidents au sein de son royaume. Cette âme va chercher à reconquérir son domaine et pour ce faire, elle ressuscitera tout au long de la route qui mène au château ses chevaliers morts durant cet incident.

Knights in the Nightmare:

Le jeu est séparé en quelques dizaines de (très) petites maps où l'on dirige l'âme du roi tel un curseur via le stylet de la DS, et les attaques s'effectuent en passant sur les chevaliers pour les activer. Ça se contrôle très bien, et l'action n'est pas gênée par le stylet vu qu'elle se passe sur l'écran du dessus. Quant aux ennemis, ça n'est pas vos unités auxquelles elles s'en prennent, mais directement à vous, votre curseur, via des patterns de boulettes et de projectiles variés (chauve-souris, serpents, toiles d'araignée, flèches, étoiles, lasers, etc.) que vous devrez esquiver sous peine de mettre un terme à votre tour. Là où les choses commencent à se compliquer, c'est sur les sous-systèmes qui régulent les phases de jeu, la gestion des unités et le déroulement du combat.

Chacune de vos unités appartient à une classe spécifique, qui possède ses propres portées et ses propres directions, comme les pièces d'un échiquier. Cela est d'autant plus important lors du choix des unités à déployer vu que seules certaines classes peuvent se déplacer. Ajoutez à cela un système de phases qui modifie les portées des classes, et un système de MPs qui limite les attaques des unités et pousse à régulièrement changer de phases, et vous avez un déroulement de jeu déjà bien différent de ce que vous pouvez avoir dans un tactical-RPG.

Knights in the Nightmare:

Entre deux combats se trouvent des cinématiques racontant l'histoire ainsi que des flashbacks des circonstances du décès de chacun des chevaliers que vous ranimerez sur votre route. Les menus de gestion de votre équipe sont également accessibles à ces moments là, et c'est ici que le côté gestion du jeu ressort. Contrairement à des RPGs lambda où un perso' est plus fort en battant plus d'ennemis, ici chaque unité à un niveau de vitalité qui décroît à chaque attaque. Et à zéro, c'est la mort permanente. Il faut donc savoir jongler entre les recrues et ne pas systématiquement utiliser les mêmes. Heureusement, chaque map contient des nouveaux perso' à ajouter à votre collection.

Toutes ces explications et descriptions peuvent sembler un peu compliquées et le tutoriel in-game est lui même assez long. Ça peut prendre une heure pour tout voir/lire, et y a des trucs que j'ai pas mentionné comme la gestion des armes, les attaques spéciales, les conditions de victoire qui mélangent bingo et bandit-manchot, les objets ou la gestion de la hauteur sur les maps. Cela dit, une fois que c'est compris, KitN s'avère vraiment très riche et fun. Les systèmes se complètent bien et le jeu est bien rythmé entre les choix tactiques à faire entre chaque tour et l'exécution en temps réel des attaques que l'on veut effectuer. La diversité des mécanismes fait qu'aucun jeu ne se joue comme KitN et c'est ça qui fait sa force. Son côté unique en son genre est rafraîchissant et bien assumé.

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KitN fait partie d'une série nommée Dept. Heaven, et Yggdra Union (GBA, puis PSP) est l'épisode précédant KitN dans cette série. Chacun des épisodes ne partagent que peu de rapprochements scénaristiques (pas besoin de jouer à l'un pour comprendre l'autre), mais tous cherchent à innover et proposer des systèmes de jeu peu courants. Yggdra Union n'est pas aussi original que KitN mais apporte également sa touche personnelle au tactical-RPG.

On incarne la princesse Yggdra, récemment en exil de son royaume suite à une invasion d'un empire voisin, et on suit sa quête pour la reconquête de son territoire en compagnie des survivants de son armée et d'autres personnages qui nous joindront en cours de route. Cette quête est séparée en chapitres, chacun se déroulant sur des maps de taille similaires à celles de KitN. Ici, l'élément clé du système de combat est un deck de cartes. En effet, avant chaque bataille, il nous est demandé de choisir une certaine quantité de cartes, et à chaque tour du combat, nous devrons en utiliser une (pas de pioche random, j'vous rassure). Les cartes déterminent non seulement le nombre de cases que les personnages peuvent traverser durant le tour, mais aussi l'attaque qui sera utilisée durant les combats.

Les combats en eux mêmes sont des séries de duels entre les personnages et possèdent, vous l'aurez deviné, des mécaniques avancées, telles que l'Union qui utilise le positionnement des unités alliées et ennemis afin de définir l'enchaînement des duels qui composent le combat, ainsi que le barre d'agressivité qui donne au joueur la possibilité d'influencer les actions de son combattant et d'utiliser des attaques spéciales liées à la carte choisie pour ce tour.



Même si Yggdra Union n'est pas aussi original que KitN, on sent la volonté des développeurs de proposer une expérience de jeu singulière. Les petites maps, l'utilisation des cartes, l'importance du positionnement des unités alliés, l'influence en temps réel des combats, le gestion du moral qui fait office de points de vie, tous ces éléments amènent la même cohérence que KitN aura, même si YU est pas autant axé action. Les mécanismes peuvent sembler tout aussi complexes, mais ici ce sont les premières missions de l'aventure qui font office de tuto' et les différentes facettes du système de combat sont progressivement disponibles afin de ne pas surcharger le joueur d'infos dès le début.

Je dirais au final que KitN est meilleur car plus original mais YU reste un jeu très intéressant, bien que plus restrictif que son successeur.

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Si vous connaissez la série Earth Defense Force de Sandlot, nul doute que Zangeki no Reginleiv (Wii) des mêmes développeurs vous sera très familier et que des explications ne seront pas nécessaires. Pour les autres, ZnR est un jeu d'action en 3D basé sur Ragnarok (l'apocalypse dans la mythologie nordique) où l'objectif est simple : détruire tous les ennemis. Au cours des dizaines de missions, vous pourrez choisir entre deux personnages (Frey et sa soeur Freyja) et n'aurez comme seul but de tout éliminer. Pas d'escorte, pas de puzzles, pas d'énigmes, pas d'infiltration, que du pur fun de destruction. Et c'est là où réside la force de ce jeu.

Les deux personnages ont chacun leur style de jeu avec Frey qui se joue plus au corps-à-corps et Freyja à distance avec des attaques magiques. ZnR peut se jouer avec un Classic Controller mais tout indique que le jeu a été fait pour exploiter pleinement le motion control et notamment le Wii Motion+. Il existe une multitude de classes d'armes (épées, marteau, sceptres, arcs, etc.) et chacune utilise la wiimote d'une façon ou d'une autre, que ça soit pour pointer sa cible ou slasher dans une direction. Ce mode de contrôle rend les coups plus nerveux et viscéraux, mais ça ne serait rien si nos adversaires n'étaient pas funs à vaincre. Heureusement, et c'est entre autres comme ça qu'EDF s'est fait sa base de fans, les ennemis sont massifs et nombreux et leur destruction est over-the-top. Par conséquent, on passe son temps à démembrer des géants dans des fontaines de sang hilarantes (avec un bruitage qui ressemble vraiment à de l'eau qui coule dans une douche) ou à projeter des ogres, araignées, ou robots dans des énormes explosions. Le nombre parfois hallucinant d'ennemis fait cela dit que le framerate est trèèès variable, mais honnêtement, ça apporte aussi du fun. Quand tu places une dizaine de grenades magiques à retardement d'un swing de bâton, que plein d'ennemis s'en approchent et que le frame-rate finit d'un coup par chuter lors de l'explosion massive en slow-motion des grenades, c'est vraiment, vraiment marrant.

La variété des armes et leur nombre conséquent (environ 300 à débloquer progressivement) fait qu'on prend souvent un malin plaisir à tester des nouvelles armes, expérimenter avec et les changer régulièrement en fonction des missions. Autre élément qui ajoutera pas mal à la replay-value est les cinq modes de difficulté (Easy, Normal, Hard, Very Hard, Inferno) qui poussent à refaire les missions avec de meilleurs équipements au fur et à mesure que l'on s'attaque aux difficultés supérieures.



Bien que ZnR n'ait pas autant le côté kitsch d'EDF qui se base lui sur les films d'extra-terrestres des années 50 et des films de kaïju genre Godzilla, il conserve le même esprit complètement axé sur l'action immédiate et explosive qu'aurait un jeu arcade. Il n'est pas sans ses défauts bien entendu (les dashs où 'faut secouer le nunchuk dans la direction souhaitée arrrrrgh) mais c'est le genre de jeu sans prétention qui n'a pas peur de parsemer ses maps de monstres pour qu'on s'amuse à les dézinguer dans un bordel pas possible qui est rafraîchissant et délirant. C'est là d'ailleurs où je ne comprends pas pourquoi Nintendo, qui avait financé le développement du jeu, n'a pas décidé de le sortir en Occident. Bon en même temps vous me direz, c'est Nintendo...

Il existe un patch qui traduit quelques menus (mais pas tout) mais le jeu n'a pas vraiment besoin de traduction, à part p'têt pour la liste des armes où vous pourrez vous en sortir avec du trial and error.

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Darius Burst : Chronicle Saviours (Steam, PS4, Vita) est le tout dernier épisode de la série de shoot'em ups horizontaux Darius, célèbre notamment pour mettre en scène des poissons mécaniques comme boss ou pour les bornes d'arcade aux format d'écran super-wide. DBCS contient en fait deux modes de jeu, le premier étant un portage de Darius Burst : Another Chronicle, le jeu arcade se jouant sur une borne dédiée impressionnante qui au passage est jouable à Arcade Street à Paris.  Bien que toutes les sensations de la borne avec les hauts-parleurs, les sièges vibrants et les warnings lumineux ne sont pas forcément présentes, la version Steam permet en tout cas aux possesseurs de moniteurs multiples ou larges de profiter de la vue extra-large pour laquelle le jeu a été conçue. Ce mode arcade jouable jusqu'à 4 joueurs en co-op local contient 8 vaisseaux dont certains provenant d'anciens Darius, une variété de stages ayant une difficulté croissante, ainsi que les embranchements d'entre-deux-niveaux propres à la série. Le sous-mode Chronicle offre également une quantité astronomique de 3000 missions reprenant et remixant les stages et boss du jeu avec des objectifs spécifiques, certaines vous demandant de jouer à plusieurs ou d'autres ne vous donnant pas d'upgrades d'armes/bouclier/missiles par exemple. La progression sur ces missions est partagée avec le reste du monde, comme cela était le cas sur la version arcade, qui était connectée en réseau avec les autres bornes.

DBCS possède un autre mode axé solo développé exclusivement pour cette version console/PC nommé Chronicle Saviours, qui se joue dans un format 16:9 plus classique et offre près de 200 missions, chacune étant composée de plusieurs stages/boss et dont la réussite débloque d'autres missions et vous octroie des points que vous pourrez dépenser dans des vaisseaux/armes/etc. pour vous aider à compléter les missions si l'équipement par défaut ne vous convient pas.
Les hommages à la série toute entière sont présents dans ce mode, avec notamment des musiques provenant des anciens épisodes en fonction du vaisseau qui vous est attribué.

On reproche souvent (à tort) aux shoot'em ups (et aux jeux arcade en général) d'être trop courts, de pas avoir assez de choses à faire, et DBCS a de quoi contrer ces critiques avec un contenu vraiment imposant, même si cela n'est pas sans ses redites, les mêmes boss ou stages revenant avec quelques variations entre les missions. Quoiqu'il en soit, c'est un jeu très accessible avec de quoi satisfaire les joueurs chevronnés qui voudront se frotter aux routes les plus difficiles et les débutants qui peuvent s'attaquer aux stages les plus simples ou profiter du mode CS à leur rythme et utiliser le système de points pour mieux s'équiper avant les missions.

Le seul truc vraiment embêtant avec le jeu, c'est en fait la politique tarifaire de Taito. En effet, à part sur PS Vita (dont la version est la moins optimale du jeu), DBCS n'existe qu'en dématérialisé, mais le tarif ne suit pas et se calque sur des jeux boîtes. 60 balles sur le PSN, what. Même sur Steam (la meilleure version pour son support dual-monitor), il est vendu à 50, ce qui est assez dingue. Difficile de le recommander en dehors des soldes/promotions donc, alors que c'est pourtant le genre même de shoot qui peut aussi plaire aux non-passionnés qui sont quand même un peu curieux mais qui vont pas mettre autant dans un tel jeu. Il y a eu quelques promos' de 20% depuis la sortie du jeu il y a deux mois, mais même là, ça tournait (sur Steam en toutc cas) aux alentours de 37€. Bon perso', j'en ai "profité" pour l'prendre mais logique que vous soyez pas tentés.

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Socrates Jones : Pro Philosopher:

Je vais finir par un petit jeu flash très sympathique du nom de Socrates Jones : Pro Philosopher. Et sympa dans l'absolu hein, pas juste "sympa pour un jeu flash", même si j'avoue que j'aurais pas pensé trouver un jeu flash aussi chouette. %D Ça n'est pas si surprenant en fait quand on apprend que le concept du jeu est un Ace Attorney avec comme thème la philosophie. C'est un clone réussi qui apporte également sa petite touche perso' et parvient à être fun tout en enseignant quelques notions de philo'.  

Socrates Jones : Pro Philosopher:

Socrate Jones, comptable New Yorkais, ne porte pas vraiment son prénom puisque la philo' c'est paaas du tout son truc. Sa fille Ari, elle, est étudiante en philo' et adore, mais Socrate Jones préfère les chiffres qu'il voit au quotidien. Malheureusement pour lui, Socrate et sa fille se retrouveront suite à un fâcheux accident dans l'au delà des philosophes, où débattent les philosophes les plus connus de l'Histoire. S'ils souhaitent revenir dans le monde des vivants, Socrate Jones devra répondre à une question : quelle est la nature de la moralité? Pour ce faire, il devra débattre de la question avec différents philosophes célèbres et utiliser ces échanges pour arriver à une conclusion satisfaisante, faute de quoi il ne pourra retourner à sa vie habituelle.

Socrates Jones : Pro Philosopher:

Chaque discussion avec les philosophes se déroulera comme les procès des Ace Attorney, avec quelques variations. Comme dans AA, vos "adversaires" expliqueront leur théorie et vous devrez déceler la faille dans leur argumentaire. A la place des preuves que vous présentez se trouvent des arguments, que vous pourrez récupérer en demandant à votre interlocuteur des précisions sur leurs explications, à la façon du vrai Socrate d'ailleurs qui se basait sur les arguments des personnes avec qui il débattait pour poser des questions visant à déceler les incohérences et contradictions.

Le jeu a récupéré le gameplay de AA mais a très bien su capturer son essence et sa personnalité également. Les philosophes sont assez haut en couleurs tout en restant fidèles à leurs équivalents réels, Ari joue le rôle d'assistante que Maya pouvait avoir dans AA et a par conséquent une bonne dynamique avec son père, les remarques drôles fusent, "OBJECTION!" est remplacé par "NONSENSE!" et ainsi de suite. Quelques petits clins d’œil à AA vraiment amusants sont aussi glissés. Le thème en lui même de la philo' peut sembler assez barbant sur le papier, mais en réalité, l'humour combiné au gameplay et au côté didactique du jeu fait qu'on trouve pas ça ennuyeux du tout, et on arrive à en apprendre plus sur les idées des personnages historiques que l'on affronte tout en s'amusant, ce qui est une belle réussite.

Socrates Jones : Pro Philosopher est pas très long, prenant 2 à 3 heures grand max à finir mais est bien ficelé et un bel hommage à AA et à la philo'. Vous pouvez y jouer notamment sur Kongregate ou Newgrounds :
http://www.kongregate.com/games/chiefwakamakamu/socrates-jones-pro-philosopher/
http://www.newgrounds.com/portal/view/625356

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Sinon, un jeu sur lequel je ne vais pas m'étendre car vous le connaissez probablement très bien : F-Zero GX. Pfiuu, en tout cas, il est très nerveux et speed! Le challenge y est bien corsé, mais généralement ça dégoûte pas du jeu non plus. Best solo racing game I ever played, I think.
J'pensais pas trop aimer les musiques qui sont dans un style différent des remixes de SSB qui proviennent de F-Zero SNES ou F-Zero X de la N64, mais en réalité, elles sont dans l'ensemble très bien je trouve! 'puis il est tellement blindé de choses à faire ce F-Zero, c'est limite pas grave si Nintendo a relégué la série à des caméos/apparitions dans Smash ou Mario Kart.

J'ai terminé Hotel Dusk : Room 215 plus tôt dans l'après-midi.
Bien que j'ai de bons souvenirs d'Another Code et que j'ai beaucoup apprécié l'aventure Another Code R, cette production CING m'a laissé très mitigé. Le jeu a clairement une identité propre et beaucoup de personnalité mais qu'est-ce qu'il peut s'avérer frustrant à "jouer"...

Ce que j'ai aimé :
-Les perso's dessinés. Ça colle très bien avec l'ambiance du jeu. Never gets old.
-L'espèce de complicité qui se forme entre Kyle et Louie.
-Le thème général de l'histoire, même si le scénar' casse pas trois pattes à un canard (et que j'ai pas pu m'impliquer dedans à cause des défaut cités plus bas). En tout cas, c'est assez original je trouve de voir cette intrigue policière autour de quelque chose d'autre qu'un meurtre.
-Le carnet de notes. Plutôt pratique, bien intégré au jeu vu que Kyle lui même s'en sert. Et on peut dessiner dedans!~
-Kyle se comporte comme un vrai connard des fois, très brut par moments. C'était pas forcément l'effet escompté mais ça m'a bien fait marrer.

Ce que j'ai pas aimé :
-Aucun log pour le chapitre en cours, histoire de bien te perdre si t'as lâché le jeu une semaine et que tu reviens sans savoir exactement où aller pour avancer.

La lenteur générale du jeu est assez frustrante :
-Les textes ont une vitesse de scrolling ridicule et y a quasiment aucun moyen de l'accélérer. Ah, si, mais c'est en New Game + seulement. Is this a cruel joke?
-Corollaire du point précédent, les conversations avec Mila sont encore plus lentes que les conver' de base. Et pour enfoncer le couteau dans la plaie :

Spoiler:

-Se déplacer dans l'hôtel aurait gagné à être plus rapide. Les portes sont méga relou. Alors, oui, c'est censé renforcer l'immersion d'avoir cette interface où tu peux toquer ou bien ouvrir la poignée via l'écran tactile, mais en fait ça sert à rien d'avoir ce choix car il n'y a (dans mes souvenirs) aucune situation où l'on peut faire soit l'un soit l'autre et avoir des conséquences différentes qui ne sont pas un simple "Y a personne"/"Barrez-vous" , et en plus ça ralentit le jeu qui est déjà pas très rapide. Un simple context-sensitive "interagir avec la porte" sans écran dédié aurait été mieux.

En plus de ça, le truc qui gâche vraiment l'expérience c'est qu'Hotel Dusk collecte toutes les tares du jeu d'aventure des années 80/90 et me rappelle pourquoi le genre a fini par mourir :
-Il faut respecter le script au doigt et à la lettre. Impossible de ramasser un objet qui semble utile avant que le jeu nous autorise à le faire. Genre le crayon qui est dans ma valise depuis le début du jeu ou le dissolvant dans mon carton, j'peux pas le ramasser avant la quasi fin du jeu. Alors que d'autres objets de ma valise ou de mes cartons peuvent être récupérés plus tôt. Aucune logique. Tu peux aisément être bloqué pendant des siècles parce qu'il fallait que tu ailles récupérer l'objet que le jeu t'interdisait de prendre avant un event trigger spécifique qui n'a pas forcément de lien avec l'objet en question.
-Les Game Over dès que tu dis la phrase qu'il ne fallait pas ou que tu te trouves au mauvais endroit au mauvais moment avec le mauvais objet. Couplés à la lenteur du jeu, c'est pas terrible.
-Certains puzzles sont juste complètement stupides/illogiques et/ou faits pour vendre des guides stratégiques. (et les autres sont méga faciles)
L'exemple qui me marque le plus est celui du stylo de Summer tellement ça m'a rendu dingue. Pour décrypter une inscription sur un stylo, on est censé aller vérifier un sac de farine lambda dans la cuisine qui est comme de par hasard un peu troué et on doit répandre la farine sur le stylo pour lire cette inscription, ce qui me semble d'une absurdité sans nom.
Il existe apparemment une solution alternative où tu dois gratter de la craie d'une pancarte à l'entrée du resto', solution qui est toute aussi contrived et d'une illogicité sans nom. Ce "puzzle" se produit en plus à un moment où Kyle reçoit trois "objectifs" en même temps et forcément, j'me suis focalisé sur un autre (rendre une poupée) ne sachant pas que le jeu veut que tu fasses les choses dans un ordre exact. L'absence de logs pour le chapitre en cours m'a carrément fait oublier le stylo après moult tocages aux portes et balades dans l'hôtel.
J'suis vraiment pas du genre à utiliser des FAQs, mais après avoir perdu des jours sur ça, j'avais plus aucun regret et ça m'a évité de pester encore plus par la suite vu à quel point y a d'autres trucs illogiques/impossibles à deviner. Un des derniers puzzles met cela encore plus en valeur :

Spoiler:

-En parlant de missables, l'espèce de quête annexe avec les numéros à retrouver dans l'hôtel et le résultat à input dans le distributeur pour avoir un objet bonus est une super idée qui m'a poussé à explorer l'hôtel et noter les numéros dans mon carnet. Sauf que pour convertir tes billets en pièces pour utiliser le distributeur, t'as une window qui est ridicule et zéro indication de quand tu peux faire ce change, ce qui fait que c'est ultra facile de rendre la "quête" infaisable.
-Le mini-jeu de bowling est codé n'importe comment et même pas playtesté. La boule est magiquement attirée par les extrémités du couloir même si notre lancer est droit. Et forcément, ils veulent que tu gagnes ce mini-jeu pour progresser, sinon c'est pas drôle.
-L'histoire méga contrived.

Spoiler:

-P'têt d'autres trucs encore mais ça m'vient pas en tete.

J'vais quand même faire Last Window histoire de profiter du style dessiné des persos et de l'atmosphère des années 60/70, mais ça sera avec une FAQ et sans grands espoirs, clairement.
J'suis d'autant plus déçu que comme je l'disais plus haut, j'avais bien aimé les Another Code (bien qu'ils sont pas parfaits non plus).

Wow M.Knight, tes analyses sont toujours très complètes. C'est vachement cool, ça me donne un peu de lecture quand je m'ennuie et certains jeux me tentent bien d'ailleurs!
De mon côté je joue au célébrissime Undertale ... C'est fou de voir à quel point un jeu peut vous prendre aux tripes! Enfin bon je suis un peu bloqué

Spoiler:

Héhé, merci. %)
Si jamais t'as besoin de conseils/infos sur un des jeux dont j'ai parlé, n'hésite pas.

N'ayant fait pour l'instant que la démo d'Undertale, j'pourrais pas forcément t'aider. Après, si c'est un boss qui te bloque, je suppose que ce sont ses patterns qui posent problème? Il y a différentes techniques générales pour aborder des motifs de tirs; par exemple si t'as beaucoup de tirs qui ciblent ta position, il vaut mieux faire des petits mouvements pour attirer les tirs et les éviter au dernier moment sans tout disperser partout dans l'écran. ("bullet herding" que ça s'appelle)

'faudrait vraiment que j'y joue à ce jeu en tout cas, le concept semblait plutôt original.

Bon, on en a déjà discuté, moi à l'époque j'avais adoré Hotel Dusk. Je vais pas redire ce que j'ai déjà dit sur FB, après pour les autres, sachez que Roigolo est quand même vachement dur avec le jeu! Si vous aimez les jeux avec une bonne trame (tu fais ce que tu veux mais tu critiques pas l'histoire *sors une fourche*), un peu originaux, que le style graphique vous botte bien, je pense que vous passerez un bon moment.

Dark Garchomp : tu as la Temmie Armor qui est la meilleure armure du jeu si ça ne passe vraiment pas (bon après je trouve qu'elle est VRAIMENT pétée, à utiliser juste quand ça coince quoi), n'oublie pas que tu peux dormir à l'Auberge du Snow Village pour maxxer tes HP, et fais le plein d'objets de soin. Bonne chance o/

Puisqu'on en est à parler d'Undertale :

Spoiler:

Après avec toi Roigolo, je dirais que ça passe ou ça casse. M'enfin tu kiffes Earthbound, donc je pense plutôt que tu va kiffer ta race. Joue!

Undertale j'vais le faire, c'est sûr. Je pense que je vais bien aimer en effet, et le créateur du jeu s'était déjà fait remarquer pour des hacks fanmade d'EarthBound donc ta comparaison est plus qu'appropriée. Le seul truc qui m'avait un peu gêné dans la démo était la vitesse de déplacement un peu lente de notre hitbox dans les phases shmup, m'enfin je m'habituerai sûrement j'imagine.


C'est vrai que je suis un peu dur sur Hotel Dusk, mais malgré tout, je ne démordrai pas sur les erreurs de game-design que j'ai mentionné dans mon post. Le jeu a des qualités indéniables, mais également des problèmes qui ne sont pas juste subjectifs.

Cela dit, je pense que pour peu qu'on accroche à cet univers et cette ambiance bien travaillés, il y a moyen de passer un bon moment dessus. Si on joue avec une FAQ à côté. J'dis ça parce que bizarrement j'accroche beaucoup plus à Last Window maintenant que je n'ai plus à deviner systématiquement l'endroit arbitraire et l'action ésotérique que les game-designers veulent me faire faire après la moindre progression dans l'histoire.

En outrepassant les énigmes absurdes et la répétitivité lassante de checker chaque recoin et chaque objet du jeu toutes les 5 minutes, le rythme devient tout de suite plus proche de l'expérience de "roman interactif" que Hotel Dusk et Last Window veulent proposer. La vitesse un poil plus élevée du scrolling du texte est appréciable également. Là, ça matche plus ou moins ma vitesse de lecture, donc ça fait une frustration de moins.

Je suis assez fan des p'tites scènes de transition inter-chapitres aussi, ça ajoute beaucoup de personnalité au jeu. Les dialogues par contre ont parfois du vocabulaire et un langage assez contemporain, ce qui donne pas toujours l'impression d'être en 70. Et je regrette que les réponses les plus amusantes sont rarement celles qu'il faut donner. Mais à part ça, dans l'ensemble, j'aime bien!

Vidéo bonus : Comment sont dessinés et animés les persos de Last Window?
https://www.youtube.com/watch?v=xv6L26DZYEs

Oups Dark Garchomp, je ne savais pas que la Temmie armor était inaccessible en Genocide Route, de même que l'Inn. Euh, bon courage quand même? x)

On a fini la True Pacifist sinon, et c'était fantastique. Là Sivery est en train de tuer tout le monde, ce qui est un poil moins fantastique.

Et Roigolo a dévoré le jeu et a bien kiffé sa race, donc je suppose qu'il va nous faire un post à la Roigolo très bientôt! :p

(La vidéo d'Hotel Dusk a just blown my mind. C'est perturbant de voir les personnages qu'on connait et aime en vrai, comme ça. °° Le talent et la patience de ce mec quand même... Je me demande si un amateur pourrait refaire ce genre d'animation, en usant de la même technique? Sans le studio photo/film de taré et la tablette à un milliard ça doit être compliqué quand même. Mais ça donne trop envie!)

Ouaip la fin en pacifist est vraiment géniale! Je me sens toujours tout mal de devoir tuer chacune de ces petites créatures dans ma run génocide ...

Sinon toujours bloqué au même endroit, enfin bon je n'y ai joué que maximum 2h depuis mon dernier post mais quand même, ce boss est compliqué! Courage aussi à vous pour ce passage! Stay determined Brasou!

Depuis la dernière fois, j'ai pu me lancer dans Undertale aussi, et je l'ai fini en effet. %)

Je conseille à tous d'y jouer, et surtout, de pas regarder de guides/discussions/etc. parce que les spoilers abondent de partout. Dur de parler du jeu sans révéler des trucs, d'ailleurs.
Même si la hype derrière le jeu est (comme à son habitude) exagérée, je trouve aussi qu'Undertale est rafraîchissant et plein de charme. Les personnages sont amusants (Papyrus c'est ze best) et les musiques mémorables. D'ailleurs, ce dernier point m'a pas mal surpris, vu que c'est pas juste une ou deux musiques qui sortent du lot mais carrément la majorité de la soundtrack que je me réécoute après avoir fini l'jeu. %D
Les influences MOTHER se remarquent également mais Undertale arrive à avoir son identité et son univers propres quand même. Le battle system est assez original et les influences shmup sont clairement bienvenues à mon avis, mais j'ai l'impression qu'il y a encore du potentiel inexploité. Content en tout cas de constater que la vitesse de déplacement a été augmentée par rapport à la démo.


Dark Garchomp :

Spoiler:

N'hésite pas à reposter si t'as encore besoin d'aide.


brasou : J'aurais jamais cru que c'étaient des vraies personnes, moi! %)
Ça fait un peu bizarre mais c'est aussi la force derrière le style si caractéristique du jeu.
Un amateur pourrait à mon avis refaire un truc similaire mais ça lui prendra plus de temps et d'effort au vu des outils, forcément. Après, possible que le matos utilisé soit plus accessible depuis le temps, non? Hotel Dusk et Last Window commencent à dater de quelques années déjà.

DETERMINATION.

Undertale, cette petite pute et conseils à Dark Garchomp:

Et oui sérieusement ne vous spoilez rien. Je ne sais pas comment j'ai fait pour atteindre le mois de mars sans rien savoir du jeu, c'est un petit miracle. Y jouer sans rien savoir, c'est une fameuse expérience. Ah et comme toujours, ne laissez pas la Fandom ou le "trop de" vous dégoûter du jeu avant même d'y avoir joué. Oui Tumblr gagatise dessus, non ce n'est pas le meilleur jeu du monde, mais oui il faut y jouer. Bouder le jeu juste à cause de la Hype serait ridicule, mais je sais qu'il y en aura toujours pour le faire.

Roigolo :Moi non plus, mais apparement Kyle Hyde est bien indentifiable à son modèle (beuh, moi je ne trouve pas?) Et viens on fait de l'animation à la Hotel Dusk!
Je veux bien que le matos ait vieilli, mais n'empêche que la tablette où tu dessines direct dessus et de quoi prendre des photos de qualité (avec un fond vert) ça reste pas gratuit. XD

Brasounette: 19h30 ou 16h30? (Tu me repondras ptete ici, qui sait)

Sinon, j'essaie de me remettre à Minecraft. Va savoir pourquoi.

HELL YEAH!

J'y suis enfin arrivé après environ 3h de try hard! Merci à vous deux en tout cas: Knight pour les lances et Brasou pour la technique de l'enfermement-dans-la-chambre-coupée-du-monde-et-des-vivres! Sans vous j'étais parti pour quelques heures supplémentaires! Mon coeur battait tellement fort quand j'y suis arrivé que j'ai eu l'impression d'avoir trouvé un shiny haha! Enfin breeeeeeeeeeef, son dernier monologue fut quand même fort triste ...

Là je suis arrivé à ce qui semble être le boss final de la genocide run et mon dieu ... it seems like i'm going to have a bad time.

Lord Moriarty a écrit:

Sinon, j'essaie de me remettre à Minecraft. Va savoir pourquoi.

Nostalgie? :p De temps en temps j'aime bien le relancer, mettre la version en 1.5_01 Beta, quand je l'ai eu juste pour les souvenirs...

Mwa je joue à EU4, KSP et quelques jeux sur ma 3DS dans mon temps perdu. (Des fois je viens ici aussi, en parlant de nostalgie, mais c'est pas vraiment un jeu).

Bien joué Dark Garchomp!  
Cette sensation d'accomplissement lors d'une victoire pour laquelle on a bataillé est pourquoi les jeux typés arcade avec du challenge sont si intéressants~
Pour ce qui est de ton état d'avancement actuel :

Spoiler:

brasou : Oui, c'est sûr que le matos n'est pas gratuit non plus. %D
Le plus difficile doit être l'animation je pense, vu que pour des dessins statiques, tu peux te baser que sur une photo et corriger les défauts de qualité sur le dessin. En plus, théoriquement, tu peux faire ce genre de dessins avec une tablette "basique" et une photo random chopée sur le net.
Alors que l'animation requiert de faire faire agir les acteurs (donc de pas piocher une photo au pif sur le net %D), sans compter les effets d'ombres et les "traits".
Tu l'as vu où le modèle de Kyle Hyde? J'ai pas le souvenir de l'avoir vu dans la vidéo.

Undertale:

Je... L'ai fait.

Undertale:

Pour le modèle de Kyle Hyde, des gens en parlent en commentaires sur la vidéo que tu as posté! ^^

Undertale:

C'est vrai que Kyle Hyde ne ressemble pas tant que ça à son modèle. Vu que c'est le protagoniste, je présume que les artistes de CING l'ont plus tweaké que les autres personnages.

Pour ma part en ce moment je m'amusais bien sur Black Ops 2 quand soudain ma manette a lâché, bien sûr ne sachant pas quoi faire j'ai voulu me taper un Pokémon mais pas n'importe lequel, j'ai torché tellement de fois Saphir (encu** de bug d'horloge interne), Vert Feuille, Blanche, Argent, Cristal, bref tout ça quoi et je me suis souvenu que j'avais laissé la vieille cartouche de Pokémon Jaune à mes petits frères et soeurs quand je suis parti du domicile parental, très dur cette séparation...

Elle me manque souvent cette cartouche...

Et j'ai repensé aux vidéos que je faisais il y a deux / trois ans de ça avec toutes les Roms et Emulateurs et là... IDEE DE GENIE !

Je me tape Pokémon Jaune depuis 3 jours avec un plaisir mais vous n'imaginez même pas, vous savez c'est un peu comme lorsqu'on a joué à Pokémon pour la première fois étant gamin...

"Ca c'est mon Pokémon et un jour ce sera le plus fort de tous"

Bref de la nostalgie, ça fait plaisir et au final ça m'a fait oublier à quel point ça faisait chier de perdre une manette de PS3 XD

\o/ J'attend beaucoup de ce jeu :
http://www.eclypsia.com/fr/no-mans-sky/news-11603.html

C'est une bonne nouvelle qu'il passe enfin gold après ces derniers mois de galère.
J'espère qu'il va être bien et pas trop ambitieux pour son époque... Peur des problèmes techniques sur console.