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| [Édition n°1] Concours de fanfictions | |
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+10Ciza Tom Nerfir Miss'Magius Ishizu Yggdrasil Shadails Rayake Tika Scarlett94 Zean 14 participants | |
Auteur | Message |
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Zean Ancien du staff (Z)
Age : 29 Nombre de messages : 1207 Date d'inscription : 08/02/2006 Localisation : dans un trou.
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 10:16 | |
| - Spoiler:
Il était un beau jour ou naquit d’une porté de créatures de la forêt deux jumeaux, quoi que bien différent puisque l’un de deux avait une couleur étrange, sa peau était d’un étrange vert jaune et son nez et ses sabot au lieu d’être bleu profond se rapprochait de l’acajou, l’autre n’était que moi. Il ne fut pourtant pas rejeter par notre famille, et fut accepté comme les autres, ainsi le troupeau vécut tranquillement, enfin, tranquillement jusqu’au jour ou des êtres, bipèdes au pelage beige et portant comme des peaux d’animaux sur leur corps, nous poursuivirent, ne sachant pas vraiment pour qu’elle raison, on continué notre vie, pourchassé. Il se passa ainsi deux ans sans trop d’encombres. Jusqu’à ce fameux jour, mon frère et moi venions d’entrer dans l’adolescence et nos bois brun était bien visibles, les siens était plutôt dorée, enfin cela n’avait pas d’importance. Toute la troupe fut d’accord pour passer la nuit dans la grotte, celle la même ou je suis mort, celle la ou tout les miens, le corps gisant ensanglanté sur le sol, avait un regard vide ou apeuré, comme pour nous prévenir du danger, trop tard. Quand je revois le grand tunnel sombre et la lumière ou se trouve toute ma famille, je n’arrive pas à voir mon frère, et pourtant ils sont tous la, sauf lui, peut-être n’est-il pas mort ? Cette question me trotte dans la tête, je me souviens avoir vu deux grand yeux rouges, un corps d’un bleu fort étrange tout entouré d’acier et de roche.
Les regrets me viennent, j’ai envie de me venger, d’aller chercher mon frère mais je ne sais pas pourquoi, mon esprit semble bloqué dans ce couloir sans fin. Quand je regarde sous mes pieds, j’y vois mon corps, doté d’une balafre qui ma presque arracher la mâchoire, mais je ne ressens rien, ni douleur, ni sens, les odeurs, le toucher, plus rien, sauf le son, ainsi que la vue, et ils sont bien mes seules aides. De l’ombre sort une des créatures bipèdes qui nous suivait depuis bien longtemps, un autre animal sur deux pattes sortis, c’était lui, cette bête sanguinaire m’avait tué sans broncher, et il en avait même un sourire sur la mâchoire d’acier qui lui servait de bouche, ses yeux d’un rouge luisant exprimant la folie. Je vois mon double tétanisé devant eux, il se retourne et essaye de fuir, mais derrière lui l’attendent une araignée pourpre ainsi qu’un scorpion grenat, tout les deux très grand, il n’avait aucune chance de s’en sortir vivant quand l’homme l’attrapa dans un filet et le mit dans un sac renforcé, la brute aux yeux meurtriers la prit et ne le ménagea aucunement.
La rage vint à hanter mon âme, quand je vois ce qu’il se produit sous mes yeux et que je ne peux rien faire, j’aurais aimé évitez sa, pouvoir remonter dans le temps, la colère envahit mon âme, la plus infime parti. Je me sens bien, je n’ai qu’une seule envie, venger, tuer, mais je ne me rends pas compte que cette haine est en train de me corrompre, tuer, j’oublie lentement tout mes souvenirs, tuer, sauf ce derniers, tuer, qu’une envie, tuer.
J’ouvre lentement les yeux, je me retrouve dans ce lieu, celui de ma mort mais bizarrement mets sens sont revenus, j’essaye de marcher à quatre pattes mais ce n’est pas vraiment pratiques, pour ainsi dire je ne sens plus mes jambes arrières, je me retourne et je vois que je flotte, je porte une sorte de peau sur mon corps. En parlant de corps je n’en ais pas, ou plutôt je ne le vois plus, et je n’ai plus la même physionomie, j’ai envie de voir mon visage, j’essaye de marcher mais je n’y arrive pas, je m’aperçois que mes bras trop courts ne servent pas à grand-chose, finalement je m’habitue au bout de quelque jour à me déplacer en lévitant, et était devenue tellement simple qu’en me réveillant je n’avais pas conscience de le faire. Mais mon âme n’avait pas de repos tant que je ne l’avais pas sauvés, tien, qui d’ailleurs, je n’arrive plus à me souvenir mais ce que je veux c’est le sauver, le sortir des griffes de ces monstres. Le temps passa ainsi, je m’étais forgé un nouveau caractère, ainsi un jour je découvris mon visage au reflet de l’eau et je vis un crane avec deux lueur rouges à la place de mes yeux, je n’y ais pas crus avant mais à force de me mirer je compris que c’était sa, mon apparence actuelle. Au moment où j’ai eu faim j’ai essayé de manger des baies ou des feuilles mais je n’avais plus de bouches, et pourtant j’émettais parfois un bruit, mais je ne sais pas d’où il sortait, j’ai même failli devenir inconscient quand soudain un petit ours vint à passer, et poussa un cri effrayé, je me senti revigoré, je ne savais pas encore comment mais en poursuivant l’ourson pour lui demander de l’aide, je me sentais gagner en puissance. Finalement je compris que les peurs et les angoisses des autres était ma nourriture, c’est ainsi que quelque année plus tard j’avais parcourue la moitié du monde, recherchant encore et toujours, jusqu’au jour ou je ressentie quelque chose de nouveau pour moi. J’avais l’impression que le tissu qui me servait d’habit comme le disait les humains, encore un mot appris à coté d’eux, m’étouffé, m’empêché de grandir, j’ai du le retirer et entrevoir une masse informe composé de gaz, mais rapidement ce gaz prit plus de place, se matérialisa en un corps plus gros et plus consistant, mon masque de crane fusionna avec ce nouveau corps, de mes bras poussèrent des mains ainsi que des doigt pouvant manipuler, je sentie le sol grâce à mes pieds. J’étais un être nouveaux, et je venais de remarquer que mes yeux avait fusionné pour ne devenir qu’un plus puissant encore, je pouvais voir à travers les murs si je me forçais, tellement heureux que ce qui m’avait servi de vêtement avait aussi changé, il était devenue mauve avec quelque point tachetés, puis il s’envola d’un coup de vent, mais je ne m’en importais plus, maintenant je me sentais encore plus puissant et j’étais sur de le retrouver.
Ainsi je ne mis pas longtemps à retrouver ce fameux tueur, il était toujours aussi grand et arborait toujours son épaisse armure, mais peut-être était-il plus sensible au attaque mentale, pour cela la concentration était de mise, soudain je sentis une onde sortir de mon corps et atteindre les sens de mon adversaire, ce dernier commença à mettre les mains sur sa tête et à divaguer dans toute les directions. Ce coup la je l’avais apprit avec le temps, il rendait fou les humains ainsi que les Pokémons, le nom que les hommes nous avait donné pour généraliser toute les autres créatures qu’eux sur la terre, l’effet était différent à chaque fois, le temps de folie était variable, mais la brute avait l’air de s’être repris et de chercher le responsable. J’étais encore trop faibles et j’eu dut fuir, pour cela je me transportais un peu au hasard, je cherchais un moyen de devenir plus fort, attendre plus longtemps me rendait fou à lier, je ne pouvait rien faire en l’instant présent sous cette forme, et je n’était pas assez fort, je savais pourtant ou cet assassins se trouvait, le suivre serait simple et je devrait l’étudier, connaitre ses faiblesse.
Ainsi quelque mois passèrent ou jusqu’au jour ou le groupe de mon ennemi s’arrêta dans une ville, plus précisément dans un hangar prêt du port, alors à mon tour je les suivais, devenu à moitié fou je ricaner d’un rire sadique parfois quand je tuais un animal qui passait par la, je ne pouvais m’empêcher, c’était si amusant, mais une petite voix à l’intérieur criait à l’aide, je la fis taire bien vite. Vint une nuit ou je vis accrocher à une branche un tissu mauve taché et déchiré, il ressemblait énormément à celui que j’ai abandonné, une envie autre que le meurtre me prit, celui de tendre la main afin d’attraper ce bout de guenille, soudain le tissu fusionna avec ma main, mon corps se mit à briller, je me vis encore grandir, toujours plus, ma vision du monde était changé, je venais de revivre la même chose qu’il y à très peu de temps. Je me découvris de nouvelle capacité, une toute nouvelle force, je me senti surpuissant, et de ma bouche, qui était découpé dans ce qui me servit de ventre sorti un rire de fou, un de ceux que vous entendez avant de mourir par un dégénéré, il était temps de reprendre ma revanche.
Je ne pris même pas la peine de me faire discret, je passe à travers du mur et que vois-je, les deux insectes géant dont je ne me rappelais plus encerclaient une cage ou se trouvé quelque chose de vert et rouge, la brute sanguinaire n’était pas encore la mais il n’allait surement pas tardés, pour l’instant je devais m’occuper de ses coéquipiers qui auraient put être gênant. Heureusement pour moi aucun des deux ne m’avait remarqués, je m’approchai lentement d’un panneau de contrôle ou se trouvaient des dizaines de boutons et quelques leviers, j’en actionnai un qui fit tomber une caisse droit sur l’araignée, c’elle si n’eu pas le temps de réagir et mourût sur le coup, un étrange jus couleur pomme vint à couler et à s’étaler sur les murs. Un rire sadique sortit de ma bouche, j’étais heureux, pas totalement mais pour l’instant j’étais en joie. Le scorpion réagit dès qu’il vit ce qu’il venait de se passer, il s’approcha d’abord de sa compagne et la vit sans vie, prit d’une rage sans pareille à son tour il se dirigea à toute vitesse sur moi, ce que j’espérais, et dans une suite d’esquive et d’attaque je le mis à mal facilement, quoi de plus simple, il ne semblait pas entrainé contre un esprit mort, je me suis mit à en abuser, toujours plus avides. Quand j’eu finit de le tuer mentalement j’étais euphorique, je ne pouvais plus me retenir, la pensée que quelque chose que je m’étais promis allait être réalisé, enfin finalement je fini par me calmer, essuyant un peu de suie la ou se trouver mon seul et unique œil. Je m’approchai lentement de la cage pour y voir ce qu’elle contenait, un cervidé, qui me rappelait étrangement quelque chose, je ne sus quoi dire, sa peau d’un vert étrange était maculé de coup de fouet et de plaie sanguinolente, en analysant les deux autres créatures il remarqua d’anciennes cicatrice identiques à celle du cerf, une rage me prit soudain. J’enrageais envers moi, j’aurais dut voir cela bien avant de les tuer, puis l’idée qu’il serait surement plus heureux mort que vivant devenait de plus en plus intéressante, s’ils subissaient des souffrances autant les abrégés et ainsi ils auraient une existence plus calme la ou ils seraient.
Une porte s’ouvrit et un homme recouvert d’un habit plutôt chic et suivit de la bête parut interloqués de ce qu’il venait de se passer, il venait de perdre beaucoup d’argent en perdant les deux insectes de couleurs inhabituelles, il cria, il n’était pas en colère parce qu’il avait des sentiments envers ses Pokémons, c’était plutôt parce que voir une masse d’or importante partir en fumée lui était abominable. Sans crier gare la brute sanguinaire était arrivé à mes cotés et allez me donner un coup de pattes puissant, heureusement pour moi j’eu le temps de le rendre fou, cette fois ci l’animal commença à détruire tout sur son passage, ses yeux n’exprimait plus la folie, mais plutôt la crainte, en faite c’est comme si nos deux regard s’étaient échangés, cette fois c’était mon œil rouge qui donnait des frissons dans le dos. Des lianes ténébreuses sortirent du sol et l’immobilisèrent, il se débattit mais je tins bon, il ne pouvait plus m’échapper, alors je m’approchai fort lentement de lui pour le laisser savourer ses derniers instants, j’ouvris ma grande bouche et le laissa voir le néant, la ou son âme croupirait jusqu’à ma mort. J’avais déjà commencé l’opération, petit à petit, comme aspiré la créature se vie vider de son énergie ainsi que de sa vie, mais dans un élan de dernière volonté son bras arracha une corde de ténèbres et brisa le bord de ma bouche, il s’écroula à la fin, sans vie. Quant-à moi j’hurlais de douleur, une partie de ma bouche manquait et mon corps était fissuré, cela était insoutenable, la folie et la rage revinrent à la charge, une onde de sauvagerie m’envahit, de ma main droit sortit une boule noir ou gravitait de l’électricité maléfique qui heurta l’homme et le tua sur le coup. La douleur était encore plus forte, je perdais mon fluide vital petit à petit à cause de ce monstre, je fis disparaitre un bout de la cage du cerf et avança jusque lui avec beaucoup de mal.
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Cela fait des années que je suis retenue, maltraité, les seules images qu’il me reste de la vie sauvage son celles du passé, celle ou j’ai vu mon frère se faire tuer d’un seul coup de patte puissant, et aujourd’hui arrive un monstre fantôme qui tue mes tortionnaires, il semble même en rire, j’en ais peur mais s’il m’aide c’est qu’il doit bien avoir une raison. Quand je découvre finalement qu’il est fou à lier je me sens dans le pétrin, même s’il me sauve la vie d’eux il va surement me tuer, je tremble de tout mon corps, mes blessures me font mal, je ne sais pas encore ce qu’il va se passer mais il vient de se prendre un mauvais coup, je me sens rassurer et je me dis que je vais m’en sortirent finalement, mais dans un accès de rage il tue même l’humain. Quand soudain quelque barreau disparaisse, suffisant pour que je passe mais il est sur le chemin, le voila qu’il passe par l’ouverture, je ne sais plus quoi faire, je me mets dans un coin et force de tout mon corps, comme espérant passer à travers. Il est juste à coté de moi, je vois son ventre ouvert en parti et une sorte de poussière bleu s’échappe de l’ouverture, il tend sa main vers moi, je vois pour la dernière fois une lueur dans ses yeux, cette lueur me rappelle mon frère, seule lui pouvait émettre celle si, mais cette dernière semblait corrompu, je sens mon corps lourd et la vie l’en quitter, je crois bien qu’il à vu qui j’était mais qu’il ne peut plus s’arrêter, cela ne fait rien, je lui pardonne. Il à tout essayé pour me sauver des autres, mais il n’a pas put me sauver de lui. Commentaire du participant :« / » [VEUILLEZ NE PAS POSTER POUR LE MOMENT] | |
| | | Zean Ancien du staff (Z)
Age : 29 Nombre de messages : 1207 Date d'inscription : 08/02/2006 Localisation : dans un trou.
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 10:18 | |
| ___ ÉvaluationsZean :
- 6,5/10 | Total
- -1,5/-2 | Orthographe
- 1/3 | Style
- 3/3 | Originalité
- 0,5/1 | Respect du thème et des contraintes
- 3/3 | Scénario
Commentaire : « C'est une œuvre intéressante que nous fait découvrir Ishizu. L'orthographe est plutôt maladroite et le style un peu confus (trop de virgules, pas assez de points), mais le scénario est bien pensé et très original par sa complexité. Au final, nous avons un très bon texte si on prend la peine de l'examiner en profondeur. Malheureusement, je n'ai vu nulle part d'allusions à Halloween, ce qui te fait perdre un demi-point de respect des contraintes. J'avoue que c'était difficile à respecter pour ce thème. Mais là n'est pas le sujet : continue dans cette voie pour améliorer ton style et ton orthographe. Avec ton imagination, tu as de l'avenir ! » _ Brûlombre~Nina :
- 6,5/10 | Total
- -1/-2 | Orthographe
Je retire, y'a encore des fautes qui auraient pu être évitées. Mais l'effort est à poursuivre (ça n'a rien de comparable à tes débuts sur Erasia, franchement, continue).
- 2/3 | Style
Je mets 2/3. C'est bon, mais les phrases trop longues sont encore trop présentes, il faut raccourcir davantage. Mais là encore, y'a beaucoup de progrès par rapport à ce que je voyais au début ^^
- 2.5/3 | Originalité
Le Pokémon qui se transforme, j'ai trouvé ça super. Le mode de narration est bien intégré aussi (imposé, mais maîtrisé, à part à deux-trois endroits où j'ai vu un «il» qui n'avait rien rien à faire à la place d'un «je» XD).
- 1/1 | Respect du thème et des contraintes
Aucun souci pour ça =)
- 2/3 | Scénario
Un scénario qui sort un peu de l'ordinaire, des Pokémon bien choisis (ça change de Salamèche et autres Poké bateaux). La volonté de vengeance et la recherche du spectre donnent quelque chose d'inquiétant et de palpitant à la fois au récit. J'ai bien accroché, même si je pense que des éléments auraient pu le rendre meilleur. Commentaire : « Une bonne fic dans l'ensemble, où l'on regrette cependant les fautes d'orthographe encore trop nombreuses. Le scénario est recherché et original, avec une lente déchéance du narrateur, que l'on sent s'aliéner au fur et à mesure avec une «angoisse» croissante. La fin paraissait inévitable, tout de même, et on aurait peut-être souhaité qu'elle soit moins radicale. Mais c'est vrai que les humains sont ainsi, alors elle est plus réaliste (oui oui, je ne crois pas qu l'être humain soit naturellement bon, bien au contraire). » _ JapanC :
- 6/10 | Total
- -1/-2 | Orthographe
- 2/3 | Style
- 2,5/3 | Originalité
- 0,5/1 | Respect du thème et des contraintes
- 2/3 | Scénario
Commentaire : « L'histoire est originale (j'ai enlevé 0,5 point pour le côté "vengeance à tout prix" du texte, qui est assez banal, enfin je trouve) et émouvante car c'est le propre jumeau du shiny qui narre la perte des siens et de son brillant de frère. Par contre le scénario est complexe, on a du mal à suivre la chronologie. L'orthographe est problèmatique pour toi, aussi. Fautes de conjugaison, de grammaire... La personnalité du shiny n'est pas très détaillée, sauf à la toute fin. C'est pourtant une des contraintes ! Le thème est bien respecté,sinon. Il n'y a plus qu'à espèrer que les pokemon brillants ne voient pas les ShinysHunters tels que tu les decrits ! Bonne continuation, tu n'as plus qu'à t'améliorer ! » ___ MOYENNE GÉNÉRALE : 6,33[...]/10_______________________________________ Thème n°3 : « Le soir d'Halloween, un Pokémon shiny se perd dans les rues de Doublonville. Il est persécuté par des enfants méchants qui ignorent pourquoi sa couleur est différente. Mais un très vieil homme le découvre et le recueille dans son chalet à l'écart de la ville. Racontez cette scène. Plus tard, l'homme meurt ; expliquez ce que fait le shiny. » Deux participants : mixiwelch et Shadails. ______ Participant n°1 : mixiwelch Œuvre :- Spoiler:
Jour de Neige…
La neige était en avance cette année, amenant sur chaque parcelle de terre une fine pellicule de cristaux brillants. La fête d’Halloween promettait d’être belle ; tous les parents avaient préparés un grand panier d’oseille, qui débordait de petits paquets aux couleurs vives, de chocolats blancs ou noirs… parfois de fruits. Monsieur Jonathan ne faisait pas exception. Il avait posé sa corbeille de douceurs à côté de la photo de sa défunte Caroline, sur le buffet à côté de la porte d’entrée.
C’était le soir d’Halloween, et un grand nombre d’enfants courraient dans les ruelles de Doublonville, simplement éclairées par les lueurs hésitantes des lampadaires gris. Moi, je les attendais simplement derrière un carreau de mon chalet, le panier aux bonbons acidulés était posé sur le meuble de chêne, près de la porte d’entrée. C’était une soirée étrange, les ombres qui dansaient au loin semblaient mystérieuses, et la neige fraîche d’octobre commençait à étendre son manteau de givre sur les branches hautes des arbres.
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| | | Zean Ancien du staff (Z)
Age : 29 Nombre de messages : 1207 Date d'inscription : 08/02/2006 Localisation : dans un trou.
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 10:19 | |
| - Spoiler:
La lune haute éclairait la ville et la neige qui la recouvrait, donnant à Doublonville un air féerique et mystique. Comme beaucoup de pokémons en cette soirée particulière, je me suis dirigé vers les habitations, les enfants et la chaleur des foyers d’hommes. D’un seul mouvement, des centaines de pokémons spectres et ténèbres se dirigeaient vers les maisons, instinctivement poussés par la magie d’Halloween. Cette nuit sacrée fut, pour moi, la première, et avec mes frères et sœurs de moins d’un an, nous marchâmes longuement sous les flocons avant d’apercevoir les petits hommes déguisés.
Les gamins chahutaient en laissant des traces glacées humides derrière eux. Ca et là, les rires et les cris perçaient l’air piquant de la nuit ; au loin, des milliers d’yeux fixaient la ville et descendaient lentement les collines pour venir fêter avec nous. J’ouvrais régulièrement ma porte, regardant avec amusement les enfants tendre leurs sachets en quête de friandises. Mais il y eu un moment de tension, comme une vibration de l’air. En levant les yeux, j’ai aperçu un groupe d’enfants qui s’agitait étrangement depuis l’arrivée des pokémons de la forêt.
Nous avancions, confiants. C’était une grande soirée, l’air était chargé de chants et d’haleines sucrées par les friandises. Nous arrivions en trottinant gaiement, et nombre d’entre nous voyaient en cette soirée une occasion de trouver un dresseur avec qui poursuivre sa vie. Je ne faisais pas exception, et j’espérais bien au fond de moi qu’un de ces petits humains déguisés en ectoplasma, robuste, me capturerait dans la nuit. Nous arrivions par centaines près des enfants déguisés, et je me sentais étrangement bienheureux jusqu’à ce qu’une fille aux cheveux très longs se mette à gesticuler, alertant un grand nombre de curieux dans les maigres ruelles de Doublonville.
Le chahut devenait gênant, amenant par vagues quelques paroles tranchantes, et je me décidais d’aller expliquer à ces garnements que la fête est propice aux joies, et non au vacarme. Ma canne dans la main gauche, j’avançais maladroitement jusqu’à la couronne de badauds qui ne cessait d’enfler. Des adultes se bousculaient, des petits criaient et, au centre de tout ce tumulte, un pauvre pokémon, étrange, torturé, qui jetait autour de lui des regards abandonnés et tourmentés. Une seconde, une éternité, passée à contempler la magie qui émanait de cet être isolé malgré lui. Chaque flocon de neige, à côté de lui paraissait terne, et refusait de luire autant que les milliers d’étoiles qui scintillaient à chacun de ses mouvements saccadés.
Je me sentis fier de cette agitation voluptueuse autour de moi, mes frères et mes soeurs me regardaient avec envie, je suscitais les jalousies, et bientôt un grand nombre d’enfants aux masques divers m’entourait. Spectrums, ectoplasmas et autres feuforêves s’agitaient autour de moi. Porté par un sentiment curieux, je me mis à tourner sur moi-même, agitant mes oreilles et ma queue, pour me rapprocher de cette demoiselle aux cheveux longs et dorés… Il y eut un moment de flottement, puis plusieurs personnes se mirent à crier, à me montrer du doigt, à me regarder d’un œil mauvais… Soudain on cria au monstre, et bien que je ne sache pas pourquoi, je me sentit déchiré. On me griffait, on m’insultait, on me frappait, on me tirait les oreilles, la queue, les pattes. Je ne savais que faire, des milliers d’yeux – trop – me fixaient avec la hargne qu’ont les ignorants devant un phénomène qu’ils jugent trop étrange pour eux. Un instant, je souhaitais que tout ceci ne fut qu’un cauchemar.
Je dus jouer des coudes, mais malgré mon âge capricieux et avancé, je me retrouvais rapidement auprès de ce pokémon. Je le reconnaissais, il s’agissait d’un noctali, j’en avais déjà entendu parler dans une des émissions du professeur Orme, mais celui-ci était différent de ses semblables. Ses marques de naissances, qui barraient son front et ses oreilles d’un éclat aveuglant, étaient d’un étrange bleu pénétrant. Dérangeant. Mais ses maltraitances injustifiées me révoltaient, comme une bouffée de colère brûlante et étouffante, et sans me rappeler comment, je me suis sentit l’entourer de mes bras, pour le protéger. Mon dos se fit griffer à son tour, on voulait que je lâche la bête, hideuse, tellement perturbante de différence. Je me suis redressé, la pauvre tremblait dans mes bras, ses yeux fixaient une gamine blonde avec tristesse et incompréhension. Les adultes autour, semblant se réveiller de leur transe malsaine, attrapèrent leur progéniture par le bras en s’excusant des yeux ou en haussant les épaules. Indifférents.
Le liquide coulait près de ma bouche, chaud et suintant, rouge. Je ne savais plus par où m’échapper de l’enfer, et les yeux de cette fille aux cheveux d’or me fixaient étrangement, comme mal à l’aise. Puis la douleur directe cessa. Chacun de mes membres hurlait d’une douleur lancinante, malgré que les tortures aient cessées. Je me suis sentit soulevé avec légèreté, et, perdu, mon cœur hurlait à cette fille des « pourquoi » qu’elle ne pouvait entendre.
Le vieil homme avait pansé chacune de mes blessures avec la douceur des fleurs qui dansent dans le vent de l’été, il avait un regard bienveillant, des rides de fatigue et d’intelligence. Son dos voûté marquait son âge, et le travail dur qu’il avait accompli toute sa vie durant. Il m’avait sauvé. Je suis resté longtemps à le contempler du fauteuil dans lequel il m’avait installé, momifié de moitié par des couvertures jaunies et chaudes. C’était un vieux fauteuil, comme lui, il sentait l’humidité et les boiseries de la maisonnette. Confortable et rassurant. Je ne savais que penser. Que s’était-il passé ? Jusqu’alors, je ne pensais pas être différent des autres de mon espèce. J’ai joué dans la même terre humide, j’ai chassé les mêmes insectes, j’ai dormi dans le même terrier que tous mes frères et mes soeurs… Pourtant, eux n’ont pas été rejetés ainsi. Monstre…Elle avait dit « monstre ». Mon cœur, une fois encore, se serra.
Le petit reprenait des forces, doucement. Un jeudi matin, alors que je rentrais du centre commercial, les bras chargés de paniers de provisions, le petit m’attendait. Il s’était enfin levé, et la couverture jaunie avait glissé au sol en un tas informe. Ses oreilles étaient droites au dessus de son museau, il avait une posture royale et comme un halo de diamants brillants, des milliers d’étoiles émanaient de son corps guéri. Je suis resté interdit un moment, puis mon vieil âge me fit sentir de déposer mes paquets, aussi avançais-je maladroitement jusqu’à la table du salon. En me retournant à l’aide de ma canne, je remarquais qu’il m’avait suivi, sa tête était penchée, comme s’il essayait de comprendre quelque chose. Ce jour là, il se passa quelque chose entre nous, et quand il vient frotter sa tête contre ma jambe, instinctivement, tacitement, je savais que nous nous étions adoptés. Le petit et le vieil homme.
Depuis lors, et malgré ma fatigue, nous faisions des recherches sur son origine. Je passais à la bibliothèque, parmi les livres épais et craquants, cherchant avec soin et calme les grands ouvrages de la nature pokémon. Après de nombreux essais infructueux, le petit et moi avions trouvé quelque chose d’intéressant. Il s’agissait d’une théorie du professeur Chen, qui datait beaucoup, et n’avait jamais vraiment été examinée de près. D’après le livre, le petit était un pokémon spécial, d’une rareté inestimable, dont l’existence serait considérée comme une légende par de nombreux spécialistes… « Ces pokémons seraient peu différents des autres de la même espèce du point de vue physique, mais d’une couleur largement différente, et dégageant une aura étoilée en permanence. ». Je considérais d’un œil faible la photo usée, en noir et blanc, d’un roucool que la légende affirmait doré. Il était évident que personne n’avait pu croire à une photo d’une telle qualité, mais au fond de moi, je me sentais profondément euphorique. Me levant avec une énergie nouvelle, je pris le petit dans mes bras, et le levant vers le plafond comme je pouvais, je le félicitais en riant d’une voix houleuse. Il était tellement magnifique.
Rare ! J’étais rare ! Un pokémon spécial, une exception ! Des bouffées de fierté me subjuguaient et je courrais dans le vieux chalet en griffant les planches de bois au vernis écaillé, de joie. Les jours passaient, en compagnie du vieil homme, et il me regardait m’ébattre dans la neige de décembre, essayant d’attraper chaque flocon de neige avant qu’il ne touche le sol. J’étais plein de vie et il souriait. Au fond de ses yeux, une lueur s’allumait, une étincelle bienveillante et chaude, agréable comme les longues soirées passées auprès de lui, couché devant le feu, écoutant le ronronnement des bûches et le craquement des pages du livre qu’il lisait. Tous les deux. Le vieil homme et le petit.
Le temps passait tellement agréablement en sa compagnie, que j’aurais voulu m’asseoir pour toujours devant sa cheminée. Mais un jour, quelqu’un frappa à sa porte. Il se leva doucement, agrippa sa canne, et je me précipitais vers la porte, curieux, attendant patiemment qu’il ne vienne ouvrir à l’inconnu.
Elle, c’était elle. Elle salua doucement le vieil homme, et m’aperçu entre ses jambes. Instinctivement, d’horribles souvenirs m’assaillirent. Des griffures, des pincements, des hurlements, tant de mal, tant de mal… Elle s’expliqua une minute avec le vieil homme, et sans que je ne comprenne pourquoi il l’invita à rentrer.
Le petit jouait au grincheux, dans son coin, près de la cheminée rougeoyante. Intérieurement, je ne savais si je devais être en colère avec lui ou rire de sa bêtise : elle n’avait visiblement pas l’intention de lui faire du mal. Je regardais la demoiselle qui se tenait devant moi. Ma vieille mémoire ne me permit pas de me souvenir de son visage, mais c’était une enfant aux traits agréables, à la peau rosie par le froid et aux yeux grands et bleus. Elle ôta son bonnet de laine en s’asseyant sur une chaise en bois, et de longs cheveux dorés tombèrent dans son dos ; les flammes de la cheminée leur donnaient des reflets flamboyants. Hypnotiques. Elle me raconta d’une voix timide qu’elle était là le soir d’Halloween, et qu’elle se souvenait de ce que les autres enfants avaient fait subir au petit. Elle était désolée et semblait sincère, et elle ne cessait de regarder le petit avec un air de triste regret. Me tournant vers lui, je vis ses oreilles cerclées de bleu, figées dans l’air, et malgré qu’il nous tournât le dos dans un air de défi, je compris qu’il écoutait notre conversation avec beaucoup d’attention. Implicitement, je compris que malgré ses excuses, la jeune fille était surtout extrêmement curieuse, et ses coups d’œil furtifs vers le petit, et son air doux, et ses manières polies, me charmèrent. J’invitais alors le petit à s’asseoir à nos côtés.
Quand je l’ai revue, je me suis souvenu de ses grands yeux, de ses longs cheveux dorés et de son cri affolé, et de son visage triste quand le vieil homme est venu me sauver, et de l’air lourd qui flottait autour de moi, ce jour là, comme un brouillard épais et malfaisant. Puis je suis parti me lover auprès du feu qui me réchauffait, et réchauffait doucement mon cœur endoloris depuis qu’elle était revenue. J’ai entendu ses excuses, et ses soupirs, et j’ai senti tous ses regards vers moi, quand le vieil homme m’a appelé, j’ai essayé de calmer mon cœur qui battait trop fort dans ma poitrine. Puis de longues minutes se sont écoulées, et son regard croisait le mien. Un éclair traversait mon cœur à chaque échange avec cette fille, et puis le temps passait, plus elle souriait. Au bout d’un long moment, j’ai fini par me sentir bien, et je ne sais plus à quel moment j’ai fini par fondre sous ses caresses apaisantes. Elle avait les mains douces et chaudes, très différentes de celles du vieil homme, et chacune de ses respirations me calmait d’avantage. Quand elle du partir, je me suis pris à penser que j’aurais pu, avant ça, accepter de devenir son pokémon… Mais mon cœur était tout avec celui du vieil homme.
Noël approchait à grand pas, et le petit était très excité. Je ris encore en le voyant devant le sapin, hypnotisé par les lumières vives qui se dégageaient des ampoules colorées et grésillantes. Ce soir là, la neige tombait encore, et recouvrait chaque relief de plusieurs centimètres d’une épaisse couche de coton blanc, brillante à la lumière des lampadaires de la ville. Malheureusement, la vieillesse, sournoise, m’enlaçait chaque minute d’avantage, étouffante et lancinante. Le matin de Noël, mes muscles refusèrent de me porter hors de mon lit, mon corps me semblait peser des tonnes, et ma canne roula par terre dans ma maladresse. Terrassé par l’âge, je sombrais vaporeusement dans la nuit éternelle. Mes yeux se posèrent une dernière fois sur le petit qui accourait vers moi – trop tard.
VIEIL HOMME ! Vieil homme ! Dites-moi quelque chose ! Le monde s’écroule atour de moi, tout me brûle, je souffre, mon cœur explose ! Levez-vous ! Mon cœur implose ! Vieil homme ! J’ai besoin de vous ! Il est impossible d’avoir si mal ! Vous m’avez sauvé, vous m’avez aimé, je suis lié à vous ! Vous ne pouvez pas m’abandonner, c’est Noël ce soir ! Revenez, vieil homme ! Revenez…Pourquoi mourrez-vous… ?
A midi ce jour là, la jeune Lise se rendit pour la seconde fois chez le vieux Jonathan. Elle lui avait apporté un gâteau qui fumait encore sous le chiffon rose, au fond de son panier. Elle sautilla jusqu’au vieux chalet en bois, et n’entendant pas de réponse à ses coups, ouvrit la porte doucement. Dans la chambre sombre, éclairée uniquement par les étoiles ternes du petit, elle découvrit le corps sans vie de l’homme, et sur lui, agonisant et gémissant, le pokémon aux yeux brûlant de chagrin. Il la regarda en poussant un long cri de détresse, brisé. Dans un sursaut, elle laissa son panier s’écraser au sol avec un bruit insupportable.
Dehors, la neige avait cessé depuis longtemps. Commentaire du participant :« / » ___ [VEUILLEZ NE PAS POSTER POUR LE MOMENT] | |
| | | Zean Ancien du staff (Z)
Age : 29 Nombre de messages : 1207 Date d'inscription : 08/02/2006 Localisation : dans un trou.
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 10:20 | |
| Zean :
- 8,5/10 | Total
- -0/-2 | Orthographe
- 3/3 | Style
- 2/3 | Originalité
- 0,5/1 | Respect du thème et des contraintes
- 3/3 | Scénario
Commentaire : « Merveilleux ! Orthographe parfaite, style superbe, thème et contraintes respectés, scénario tout à fait cohérent. Le seul problème, c'est le manque d'originalité. La fin triste est encore la plus simple à écrire. Et puis, qu'arrive-t-il au Noctali après tout ça ? Malgré tout, c'est un très beau texte au final, agréable à lire et à noter ! » _ Brûlombre~Nina :
- 7.5/10 | Total
- /-2 | Orthographe
Je ne retire rien, y'a des fautes de syntaxe et deux-trois fautes d'orthographe qui se promènent («malgré que» notamment, des oublis de s par exemple), mais si je commence à retirer dès que je vois quelque chose...je suis trop méchante et sévère, donc je me censure xD
- 2.5/3 | Style
J'ai bien aimé l'alternance, et les deux points de vue rendent bien compte de la vision qu'ont les deux protagonistes des évènements. Bien écrit dans l'ensemble malgré quelques anacoluthes. Rien à ajouter =)
- 2/3 | Originalité
Je ne comprends pas pourquoi utiliser un Noctali, franchement il évolue avec l'amitié, comment peut-il exister à l'état sauvage ? Ca fait un peu bizarre, mais soit. A part ce détail, j'ai trouvé le mode de narration bien choisi, mais l'histoire colle peut-être un peu trop à la contrainte ; on aurait aimé plus de développement, sans doute. C'est dommage, la note aurait pu monter.
- 1/1 | Respect du thème et des contraintes
Pas de problème particulier à ce niveau-là (je suis très laconique, mais parler pour ne rien dire, c'est stupide et absurde xD).
- 2/3 | Scénario
Le principal souci, pour moi, réside dans l'arrivée de la jeune fille. J'ai vraiment l'impression qu'elle débarque comme ça, sans raison apparente. Tu aurais peut-être pu trouver un prétexte plus plausible, pour justifier sa venue. Elle aurait pu venir lui apporter quelque chose parce qu'elle faisait du porte-à-porte, je ne sais pas, un truc qui donne un sens à sa venue. Elle vient pour parler de ce soir-là, mais bon, débarquer ainsi...une simple phrase du type «j'ai dit que j'étais venue pour tel motif, mais la vérité, c'est que...». Enfin, ce n'est que mon avis. Commentaire : « Une bonne fic dans l'ensemble, qui colle bien au thème, un peu trop, peut-être, le principal reproche que je ferais à cette fic. Le Pokémon choisi ne me paraît pas judicieux (Noctali, la nuit, ok, mais comme je l'ai dit, à l'état sauvage, c'est assez bizarre). Je suis sûre que tu pourras faire quelque chose de meilleur encore au prochain concours, si concours ultérieur il y a. » _ JapanC :
- 8,75/10 | Total
- -0/-2 | Orthographe
- 3/3 | Style
- 2/3 | Originalité
- 0,75/1 | Respect du thème et des contraintes
- 3/3 | Scénario
Commentaire : « Juste... Whaou. Ton histoire est bien construite, et claire. Le scénario est interessant, l'incomprehension du Noctali maltraité est décrite et justifiée : il est pareil que ses semblables, sauf physiquement, alors pourquoi ? L'interversion des narrateurs est bien pensée, mais pas unique dans ce concours puisque Shadails y a pensé aussi ! Seul problème, à la fin, au niveau des contraintes : le vieil homme meurt, mais que fait le shiny ensuite ? Il pleure juqu'à mourir desseché ? Il reste avec la petite fille ? C'est bon pour le suspens, mais c'est une petite partie des contraintes qui n'est pas totalement respectée. Dommage aussi, l'absence de nom pour le Noctali. "Le petit" fait plus penser à un enfant qu'à un pokemon.» ___ MOYENNE GÉNÉRALE : 8,25/10______ [VEUILLEZ NE PAS POSTER POUR LE MOMENT] | |
| | | Zean Ancien du staff (Z)
Age : 29 Nombre de messages : 1207 Date d'inscription : 08/02/2006 Localisation : dans un trou.
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 10:20 | |
| Participant n°2 : Shadails Œuvre :- Spoiler:
La nuit est enfin tombée. Maintenant, je peux sortir… Au moins, cette sale tour radio aura une quelconque utilité : abriter les bannis. Les pokémons malades, trop petits, trop grands. Pas comme les autres quoi. Je suis un cornèbre et c’est mon cas.
Pourtant, il faut savoir que même cette communauté qui a longtemps souffert à cause du regard des autres me rejette. Je suis plus étrange qu’étrange. Même dans les profondeurs, dans les égouts, dans les poubelles. Je ne suis pas chez moi. Je dois dormir à l’endroit le plus froid du mécanisme de la tour.
Ah, le mécanisme de la tour… C’est un endroit à la fois répugnant et absolument magnifique. Pourquoi répugnant ? Parce que c’est une sorte de gros amas noir de pièces métalliques pour la plupart tranchantes, hideuses, et bruyantes. On vit à l’intérieur d’un émetteur géant. C’est absolument énorme comme endroit, mais les pokémons ne vivent en général qu’au sommet de la chose. C’est moins dangereux et on a moins de chances de se perdre.
Magnifique… Parce tout simplement, cet endroit signifie pour nous le calme, la prospérité, et surtout, l’abri. Oui, c’est là que nous sommes inatteignables, au dessus de tous. C’est là aussi que nous pouvons contempler tous ces petits êtres rachitiques et nous moquer de leur petitesse, dans tous les sens du terme. C’est là, et là seulement, que nous sommes les maîtres du monde.
Oh, bien sûr, nous sommes pour la plupart des pokémons vol. Les pokémons se pouvant parcourir les airs ou se déplacer d’une quelconque façon par ici vivent dans les égouts… Là, c’est vraiment horrible. Les pokémons y vivant deviennent en général encore plus malades qu’avant. C’est normal, on y déverse les déchets de tout Doublonville, alors forcément… Le pire, ce qu’ils n’ont nulle part ailleurs où aller. Oui, on les persécute absolument partout. Alors tout ce qui leur reste c’est… Se nourrir de déchets. Vivre dans l’obscurité.
‘Faut pas se faire d’illusions, oui, cette ville est cruelle… Mais on ne peut pas tellement aller ailleurs. Cette ville est tellement immense… Si on essayait d’en sortir, même par la voie des airs, on serait directement soit attaqué par un pokémon sauvage, soit capturé par un scientifique, soit juste lapidé à coups de pierres. Oh, certains ont essayé… Mais ils sont absolument tous revenus. Tous. Et en mauvais état. Celui qui a tenu le plus longtemps, c’était Grant, un nosferapti sourd. Ou plutôt… On lui avait arraché les oreilles. Il pouvait envoyer des ultrasons, mais cela ne lui servait à rien : il ne pouvait pas ensuite les analyser.
Une chauve-souris sourde, c’est une chauve-souris aveugle. Il était donc totalement sans défense. Pourtant, un soir, il n’en a plus pu. Alors il s’est jeté du haut de la tour noire et a volé. Quelques jours plus tard, Ectoplasma l’a retrouvé dans une poubelle, vers les cycles à gogo.
Ectoplasma, c’est un peu notre ange gardien. Il est… normal. Mais il nous aide parce qu’il a vu les pensées des humains. Il en est capable. Les immondices, les atrocités qu’il a vues lui ont fait prendre conscience qu’il devait s’occuper des plus faibles, c’est-à-dire nous. Il nous apporte de la nourriture, nous soigne, nous cherche si on disparait… Et puis il règle aussi les bagarres. Il a un grand sens de la morale, Ectoplasma. Il est vraiment génial.
Oh, bien sûr, certains pokémons nous disent : « Mais pourquoi tu veux pas un dresseur ? ‘Y t’aimera, te nourrira, acceptera ta différence… »
C’est pas ça qu’on veut. Ce qu’on veut, c’est… Pouvoir marcher dans les rues, dans les forêts, dans les plaines… Sans se faire juger à chaque fois. Sans que dès que quelqu’un nous regarde, on se fasse sauvagement attaquer. Et Ectoplasma nous y aide. On avance, petit à petit. Ceux qui ont des problèmes physiques ou psychologiques ne peuvent pas sortir la nuit. Pour ceux-là, qui sont d’ailleurs une majorité, la vie est plus dure. Ils doivent rester enfermés, emprisonnés dans ce… dans cette prison.
Moi, je peux. Et d’ailleurs, c’est tant mieux, puisque les habitants de la tour ne m’apprécient pas particulièrement. Je ne sors peut-être pas souvent, mais, quand je le fais, je reste bien-entendu très prudent…
Ce soir, c’est l’heure. Tout le monde dort. Alors, nous, ceux qui peuvent nous en aller, on se prépare. Sur les quelques 50 pokémons qui vivent ici, nous sommes 8. Chaque trois jours, lorsque Doublonville dort, entre 3 heures et 7 heures du matin, nous allons faire notre balade. Juste faire un tour au dessus des immeubles. Juste prendre l’air. Juste se sentir vivant. Juste pendant une quelques heures. Je regarde la ville. Les lumières disparaissent petit-à-petit. Je décolle, et une trainée d’étoiles se répand dans la nuit.
***
Ah, une soirée calme. Comme toutes les soirées. Sauf que ce soir, il y a quelque chose de différent. Ce soir n’est pas comme les autres soirs. Ce soir, un évènement inhabituel vient bouleverser ma vie quotidienne.
On ne jouera pas aux cartes ce soir. Et merde.
Ce club pour vieillards est la dernière chose qui me restait pour ne pas me faire chier de 18h à 23h. Je pourrais… Je pourrais… Je pourrais quoi ? Regarder la télévision ? Boire de l’eau gazeuse ? Caresser mon vieux persian toute la soirée ? Je pourrais même… Ha-ha ! Ecouter la radio ! Sérieusement. Cette ville n’est pas faite pour les vieillards. Je devrais me tailler. Pourtant, je ne m’y résigne pas.
Putain, cet imbécile de Yann ! Et allez, organisons le poker chacun son tour ! Rah… Et en plus, c’est Halloween. Halloween ! Halloween mon…
Hum. Cette ville, donc, est une sorte de berceau pour moi. C’est ici que j’ai commencé ma vie de dresseur. J’ai trouvé un petit miaouss abandonné dans le souterrain. J’étais un raté. Une racaille. Aucun avenir. Le classique. Devenu dresseur. Tout aussi classique. J’étais de ces durs qui frappent leur pokémon. Juste pour que celui-ci soit plus puissant. Maintenant, à chaque fois que je regarde persian, j’ai honte. Mais heureusement, mon voyage m’a changé. J’ai été appelé par mon grand-père. Mon grand-père vit à Shinnoh. C’est une région magnifique. Mais les gens y sont… Etranges. Mon grand-père donc, paix à son âme d’ailleurs, vivait dans une ville plutôt similaire à Doublonville : Voilaroc.
Ca, ça, c’est une ville. Comme ici, un casino. Comme ici, un grand centre commercial. Mais quelque chose d’autre. Quelque chose qui manque ici. Quelque chose que les gens de cette ville n’ont jamais eu. Cette sorte de naïveté, de fraternité. Dans cette ville, où plus précisément en m’y rendant à travers tout Shinnoh, j’ai appris beaucoup de choses. Et, à mon retour, après avoir parcouru plusieurs autres régions, alors que trente longues années étaient passées, j’étais vieux. Vieux. Et seul. Vieux et seul. Sans pokémon. Sauf Persian. Et depuis quelques années, je vis ici. Putain, qu’est-ce que je fous ? Qu’est-ce que je fous ?
Je sais pas. J’attends. Marre d’attendre ! Je sors. Je préfère me faire voler, assassiner, violer, ou même me faire demander des bonbons que de croupir ici à augmenter les revenus de ces connards qui diffusent leurs ondes de merde. ‘Faudrait que je la jette, d’ailleurs, cette radio.
‘Fait froid.
***
Et zut. Ce soir, c’est différent. Même à cette heure, il y a plein d’enfants. Tous grotesquement habillés en Polichombrs, Tenefixs, ou encore Noctunoirs.
C’est ridicule, peut-être. Toujours est-il que je me suis fait repérer. Alors que je volais tranquillement, j’ai décidé de m’arrêter pour faire une pause. Et c’est là que je me suis fait avoir. Ces gamins… Un skelenox. Et un Fantominus. Ils m’ont tout simplement vu. Ils ont crié. « Il est violet. Il est violet ! Hé, t’es pas normal ! Vas-y ! Prends là-toi cette pierre ! »
Et là, je patauge dans la boue. Je vais bien. C’est ma vue qui a un petit problème. Ces enfants m’ont lancé des cailloux. Et ils m’ont touché. Bien touché. Je voyais plus rien, alors je me suis envolé. Difficilement. Je me suis pris un truc dans le bec.
Un réverbère probablement. J’ai volé. Quand je les entendais plus, quand je me suis senti hors de danger, je me suis laissé tomber. Et là, je suis seul. Tout est flou. Je distingue un peu les murs de brique. C’est tout. J’ai froid. Ectoplasma, viens vite. Viens vite, Ectoplasma. J’ai froid. J’entends des pas. Viens vite.
***
Brrr… J’ai déjà croisé quelques-uns de ces gosses. Je savais déjà que cette ville était moche. Maintenant, je sais que ses habitants aussi sont moches. Rah, il pleut un peu là. Le ciel est rouge. La lune est magnifique.
J’aurais du prendre persian. Là, je flippe. Je flippe. Moi. Moi, je flippe ? Non mais hé ! C’est quoi cette histoire ? J’ai peut-être vingt-deux ans, mais j’suis pas un pétochard ! Le seul truc qui peut encore me faire peur, c’est la nourriture périmée !
Hein ? C’est quoi ce truc ? On dirait… On dirait ! Mais mais, maismaismais, mais ! Mais ! MAIS PUTAIN MAIS C’EST… C’est un brillant ! Un cornèbre brillant ! Oh, merde, il a pas l’air bien ! Il doit forcément appartenir à quelqu’un… Je le prends ? Je le prends pas ? Raaaaaah !
***
Hein ? Je suis où ? C’est douillet… J’ai jamais dormi aussi longtemps... Mon dos me fait mal. Mes yeux ! Qu’est-ce qu’y est arrivé à mes yeux ? J’arrive pas à les ouvrir ! Non, non, non…
Tout cet amour… Un dresseur. Un imbécile de dresseur m’ayant recueillit pour me soigner, soi-disant ! Mais qu’est-ce qu’il va faire ensuite ? M’obliger à trainer dans la boue, à combattre des centaines de pokémon, pour ensuite me laisser croupir sous forme de données informatique dans un réseau truffé de pauvres bêtes comme moi ! J’suis dans le pétrin. Avant, j’étais dans le pétrin. Mais là, je suis VRAIMENT dans le pétrin. C’est la fin… La fin !
Hein ? On me prends dans des bras ! Cette voix… Ah, un vieil homme ! C’est pas si mauvais. Je vais boire du thé et de la nourriture spécialisée pour cornèbres. Sauf si c’est un de ces vieux fous qui pensent encore pouvoir battre des jeunes. Dans ce cas, c’est entraînement intensif sous la pluie tous les soirs ! Merde…
***
-Ca fait deux mois, Cornèbre. Tu te sens mieux ? L’oiseau acquiesce. Il est magnifique. Mais il n’a pas l’air très heureux et… Chier, ma toux revient. Ma toux. Encore.
-Cornèbre, qu’est-ce qu’il y a ? Je t’ai soigné, tu peux… Kof-kof ! Retourner chez toi ! Non, ‘faut pas qu’il le voit. Non, ‘faut qu’il parte. Merde, casse-toi, piaf de malheur ! Casse-toi !
***
Il est tombé. Il est tombé. J’ai beau crier, il ne se relève pas. Pourquoi ? Pourquoi ? Je viens de découvrir que les humains n’étaient pas comme on le pensait. Pas tous.
Il s’est occupé de moi comme si j’étais son fils. J’ai retrouvé la vue il y a deux jours. Pour voir quoi ? Ca ? Et persian ? Persian !
Non, non ! Il ne doit pas mourir ! S’il meurt, je vais… Je vais devoir… Retourner à la tour ! Non ! Non ! Relève-toi, MERDE ! Commentaire du participant :« / » ___ ÉvaluationsZean :
- 8/10 | Total
- -0/-2 | Orthographe
- 2,5/3 | Style
- 2/3 | Originalité
- 0,5/1 | Respect du thème et des contraintes
- 3/3 | Scénario
Commentaire : « Ah, un texte plein de personnalité ! L'orthographe est excellente (mis à part quelques petites fautes trop ridicules pour être prises en compte) et le style est très bon. Le fait que le vieux ne soit pas un gentil bonhomme parfait qui n'a jamais fait de mal à une mouche accentue le réalisme de l'histoire et rend la fin encore plus triste. Seuls points noirs : le langage un peu trop familier et la fin qui manque d'originalité, justement parce que c'est une fin triste et que la fin triste est la plus facile de toutes à imaginer. Et puis, que fait le Cornèbre après la mort du vieil homme ? Cela pose un problème au niveau des contraintes... » _ Brûlombre~Nina :
- 7/10 | Total
- /-2 | Orthographe
Comme pour le candidat précédent, je ne vais rien retirer, pour les mêmes raisons.
- 2/3 | Style
Je mets 2, car l'utilisation de la langue orale est un peu répétitive, un peu trop de «Ah», de «Merde» et autres marques du langage parlé parasitant la fic, c'est dommage parce c'est très bon par ailleurs.
- 2.5/3 | Originalité
Un bon développement autour du thème,avec des précisions appréciables concernant la vie des deux personnages. Ca fait plaisir de voir qu'on ne se limite pas toujours au seul thème imposé, et étoffer donne un petit plus ^^
- 0.5/1 | Respect du thème et des contraintes
Je mets la moitié de la note maximale car, si le thème est respecté, la contrainte qui imposait de raconter ce que faisait le shiny après, elle, l'est beaucoup moins. La partie qui consiste à raconter la soirée et l'attaque est trop courte par rapport à la mise en place du cadre, ou plutôt, c'est cette dernière qui est disproportionnée par rapport à la partie proprement attribuée à la contrainte.
- 2/3 | Scénario
Même note que pour le candidat précédent, mais pas pour les mêmes raisons. Peut-être que le moment où le vieillard (qui a 82 ans, et pas 22, je suppose, ce doit être une erreur de frappe xD) prend le Cornèbre avec lui aurait pu être décrit ; on aurait également attendu un développement au lieu d'une ellipse narrative aussi énorme. On passe directement du sauvetage à la mort du vieillard...dommage. Commentaire : « Un style plutôt original, mais un peu trop oral à mon goût. Un peu moins de grossièretés et un petit peu plus de développement devraient permettre de t'améliorer, j'ai confiance =) » _ JapanC :
- 8,25/10 | Total
- -0,5/-2 | Orthographe
- 3/3 | Style
- 2,5/3 | Originalité
- 0,75/1 | Respect du thème et des contraintes
- 3/3 | Scénario
Commentaire : « Un bon texte, avec quelques petites fautes et peut-être trop de grossiertés, qui t'ont vallu 0,5 point en moins. Parce que, les insultes, ça rend le texte plus réaliste, mais quand il y en a trop, c'est exagéré. Le scénario est sympa, surtout la partie avec les pokemon "parias" qui n'aiment pas les humains ou les pokemon sauvages. Le style est interessant (style populaire ^^) et original. Comme Mixiwelch, l'interversion du narrateur est bien pensée, mais utilisée par vous deux, ce qui enlève à l'originalité. Et, de nouveau comme Mixiwelch, on a aucune idée de ce que fait le Cornebre après la mort du vieil homme, ce qui pose un problème au niveau du respect des contraintes. » « J'ai eu un grand plaisir à lire vos trois Fanfictions. Bravo à tous les trois ! » ___ MOYENNE GÉNÉRALE : 7,75/10_______________________________________________________________________________________________ Le concours est officiellement terminé ! Merci à tous pour votre patience. mixiwelch recevra au plus vite son Solaroc shiny. Mon seul regret est le manque de participations à ce concours... Vous ferez mieux la prochaine fois, j'espère ! ^^ | |
| | | Shadails Nouveau Membre
Age : 30 Nombre de messages : 177 Date d'inscription : 26/03/2006 Localisation : Au pays des ramens ! (Qwen, TG.) Nombre de Shinies : 6
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 12:31 | |
| J'ai la médaille d'argent \o/
Mais, Zean, 'y faut pas regretter d'avoir eu si peu de participants, imagine, s'il y en avait eu plus,combien de temps ça aurait prit pour faire le jugement %D
*sors avant de se faire lapider, brûler et violer par les trois juges*
Très joli, Ishizu et Mixiwelch en tout cas^^
Et bravo à Mixiwelch bien sûr.
Et merci au juges.
Et vive MA. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 13:24 | |
| HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! :love: :love: :love:
Merci... *pleure de joie*
Je suis troooop contente ! ^___^ Shadails, ta fanfic est très jolie, j'ai beaucoup aimé ! ^^ Le style est agréable, je trouve, les grossièretés ne me gênant pas, elles donnent un air réaliste ! Ishizu, c'est une histoire triste ! J'espère que tous les SHasseurs ne sont pas comme le tien ! Et la déchéance du fantôme... sublime ! ^^
En tout cas je suis super contente, merci aux juges, merci à Zean pour le concours, et vivement le prochain ! :love:
(C'est possible de renommer le shiny : Fixion ? X'D C'est un homage... ^^)
EDIT : Merci Shadails ^^ Vivement le prochain concours, pour que je puisse m'améliorer encore grâce à toutes vos remarques ^^
Dernière édition par mixiwelch le Mar 23 Déc 2008 - 17:25, édité 1 fois |
| | | Shadails Nouveau Membre
Age : 30 Nombre de messages : 177 Date d'inscription : 26/03/2006 Localisation : Au pays des ramens ! (Qwen, TG.) Nombre de Shinies : 6
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 13:29 | |
| Bravo encore à toi ^^
Quant à moi, bah... Euh... J'ai pas encore eu le temps de lire vos fics >o< Ne le ferait cet après-midi.
Edit: Mixiwelch, lu. Franchement, un style simplement remarquable. Après, certains mots reviennent un peu trop souvent, du genre bouffée, mais bon, c'est vraiment un détail de rien du tout que seul un fou dans mon genre peut remarquer %D
Après, bah... Les émotions ressenties par les deux narrateurs m'ont presque fait pleurer. Franchement, quand je regarde ma fin et la tienne... XD | |
| | | Ishizu Yggdrasil Chercheur de Shinies
Age : 32 Nombre de messages : 326 Date d'inscription : 13/06/2008 Localisation : Quelque part... Nombre de Shinies : Un nombre, je les comptes pas, aucun intérêt
| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions Mar 23 Déc 2008 - 18:08 | |
| Je me doutait d'être 3em xD Je sais pas pourquoi, l'intuition ( bon en même temps je sais juger le boulot que j'ai fait xD ) Ah, encore ce gros problème de fautes, enfin, on ne peut que s'améliorer ^o^ Bon on as tous vus que j'ai un petit coté sadique, je pouvait pas m'en empécher xD
En ce qui concerne la Fic de Mixie j'ai beaucoup aimé, mais j'aurais vu plutôt un Evoli qui évolue plus tard en Noctali plutôt que direct, comme Nina, enfin j'ai beaucoup aimé ^^
Shadails, le style familier, je trouve que sa change vraiment de tout ce qu'on lit, et sa donne un vrai petit truc, bon après l'ellipse était effectivement énorme O_o j'aurais bien voulu en savoir plus ^^
Bon après le manque de fin pour les deux fic je ne trouve pas cela vraiment dérangeant, sauf si je venait à m'intéressais du sort de ses shinys ^^
Bah au moins je suis heureux d'avoir participé ^^, dommage qu'il y ais manqués de participants. | |
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| Sujet: Re: [Édition n°1] Concours de fanfictions | |
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| | | | [Édition n°1] Concours de fanfictions | |
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